La wilaya de Mostaganem a commémoré lundi le 178e anniversaire des enfumades de la tribu de Ouled Riah, dans la commune de Nekmaria, un odieux massacre perpétré par le colonisateur français.
C’est à Alger, précisément dans la commune de Belouizdad, et nulle part ailleurs en Algérie, que se situe la rue des fusillés, de même d’ailleurs que la station de métro «Les fusillés». Oui, c’est bien beau de se souvenir des fusillés, de leur rendre hommage en leur dédiant des dénominations d’artères urbaines et autres.
Quel lien pourrait-il y avoir entre les événements du 8 Mai 1945 et la Bataille d’Alger, seriez-vous curieux d’interroger ? Le lien existe réellement. Il a été établi et n’était l’intervention du destin à la toute dernière minute, les morts de Guelma, un certain 8 Mai 1945, précisément, auraient été vengés.
La famille révolutionnaire de Blida a commémoré, samedi, le 66e anniversaire de la bataille d’Ahl El Oued à Chiffa (ouest de la wilaya), soldée par la mort au champ d’honneur de 37 chahid, et la mort de 155 soldats dans les rangs de l’ennemi français, en plus d’importantes pertes matérielles.
Le Comité du centenaire de Krim Belkacem a organisé un événement inaugurant le centenaire de sa naissance, à l’Académie de géopolitique de Paris, le lundi 20 mars. Cette reconnaissance d’hommage et d’histoire se déroulera durant toute l’année 2023 à travers des conférences, expositions, contributions écrites, émissions radio, télévision, témoignages de familles, amis et historiens.
L’Algérie célèbre, ce dimanche, la Fête de la victoire marquant le 61e anniversaire du cessez-le-feu du 19 Mars 1962, une journée mémorable qui a amorcé une nouvelle ère pour un peuple déterminé à rester libre après avoir consenti d’immenses sacrifices pour imposer sa volonté.
Cette journée de commémoration a été une excellente occasion pour mettre en lumière la situation de cette frange de la société qui a des besoins spécifiques qui ne sont pas souvent pris en charge.
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laid Rebiga, a présidé depuis la prison de Serkadji (anciennement prison de Barberousse) à Alger, la cérémonie de commémoration du 66e anniversaire de l’exécution du Chahid héros Ahmed Zabana et des frères Chouhada Makhlouf et Abdelkader Kherradj, guillotinés le 19 juin 1956 par l’administration coloniale française.
Des arrestations ont été enregistrées, hier, dans la ville de Tizi Ouzou parmi les citoyens qui ont tenté de marcher à l’occasion de la célébration du 42e anniversaire du Printemps berbère. Il y a aussi des citoyens interpellés lors d’un dépôt de gerbe de fleurs au centre-ville, à la mémoire des victimes des événements de Kabylie de 2001.
Un huit février de l’année 1958 et au moment même où les contingents de l’ALN apportaient dans toutes les régions du pays un démenti cinglant aux thèses colonialistes de l’Algérie française, l’armée de l’occupant choisit l’irréparable comme moyen de dissuasion en s’attaquant aux civils de Sakiet Sidi Youcef.