l «De Londres à Jérusalem, terreur promise» (*) est l’intitulé de l’ouvrage d’Akli Ourad présenté samedi dernier lors d’un café littéraire à la Fondation culturelle Ahmed et Rabah Asselah.
Imaginez qu’à Tlemcen, en cheminant quelques centaines de mètres de la cité administrative de Bouhanak et en gravitant une dizaine de marches sur un tapis vert d’un café littéraire, vous ouvrez la porte et vous atterrissez en pleine…Havane.
Vous venez de publier les Actes du café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou. Le recueil contient des textes des différents intervenants. Comment est né ce projet ? Effectivement, le recueil contient des textes de différents intervenants. Cela touche à beaucoup de disciplines allant de l’histoire, à la philosophie, en passant par la sociologie, l’anthropologie, la géopolitique, la littérature, le cinéma... Cela répond aux objectifs du café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou et de Larbaâ Nath Irathen (LNI) de diversifier les thématiques et donner la parole aux chercheurs et auteurs de différents bords pour s’exprimer et rencontrer le public. Vous n’êtes pas sans savoir l’importance de ces rendez-vous pour toute société qui aspire à évoluer.
Au grand bonheur des amoureux d’art, des livres et de culture, un café littéraire a été ouvert à la Maison de la culture de la wilaya de Médéa.
Le Café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou, initié par l’entreprise d’organisation d’événements culturels et scientifiques et économiques de Malek Amirouche, reprendra ses activités aujourd’hui, 26 février, après une année de mise veilleuse.