La ville de Tiaret se caractérise, ces derniers temps, par la mise en branle d’importants projets liés aux aménagements urbains et surtout la réhabilitation du réseau routier en interne. La capitale du Sersou s’apparente à une ville en chantier où tout a été labouré, enfin des pans entiers d’axes routiers ont été décapés pour être revêtus de bitume non sans allier des opérations connexes sur la voierie. Bien que des appréhensions soient nourries, beaucoup de citoyens y voient quand même le signe d’approches visant l’amélioration du cadre de vie.
La vaste opération d’entretien des routes nationales et des chemins de wilaya et communaux, lancée cette année, se poursuit toujours.
Des routes nationales (RN) et des chemins de wilaya (CW) seront renforcés et réhabilités pour une enveloppe dépassant les 900 millions de dinars.
Les travaux de dédoublement d’un tronçon de la RN18, reliant la localité de Sidi Naâmane à Beni Slimane dans la wilaya de Médéa, ont été lancés, hier, en présence du chef de l’exécutif local, Djahid Mous.
Les habitants du village Inesman, relevant de la commune de Taghzout, au nord-est de la wilaya de Bouira, crient à la marginalisation. Dans une requête adressée au wali, les villageois ont signalé plusieurs problèmes, dont la dégradation du réseau routier.
Connaissant une dégradation de plusieurs axes routiers et un retard dans certains projets du secteur des travaux publics, la wilaya de Constantine va bénéficier d’un programme consistant de mise à niveau de sa voirie, selon la déclaration du wali, Abdelkhalek Sayouda, lors d’une récente visite d’inspection dans certaines communes de la wilaya. «Au bout d’une courte période, nous avons enregistré un avancement considérable dans le goudronnage des routes communales et de wilaya.
L’état lamentable du réseau routier de la ville de Sétif n’est plus «l’exclusivité» de la périphérie, des chemins secondaires et des itinéraires «non fréquentés par le chef».
Certains tronçons de routes sont, à la moindre chute de pluie, submergés pas les eaux pluviales. Au lieudit Houch El Makhfi, les voitures heurtent de plein fouet la mare d’eau qui stagne sur la chaussée, car elle n’est pas évacuée.