A l’approche de l’Aïd El Adha, une ambiance particulière règne dans les marchés de Mostaganem. Cette année, une nouvelle rassurante apaise les esprits : les prix des moutons connaissent une baisse significative. Selon plusieurs éleveurs, une réduction dépassant plusieurs millions de centimes par tête a été observée, indépendamment du poids ou de la taille de l’animal.
Hier, dernière journée de cotation de la semaine, les cours de l’or noir ont ouvert en hausse par rapport à la clôture de jeudi, mais demeuraient très instables durant la séance. Les indices Brent et WTI étaient en voie d’enregistrer des baisses hebdomadaires respectives d’environ 3% sur la semaine, après avoir tous deux perdu environ 11% la semaine dernière, dans le sillage des «hostilités commerciales» lancées par l’administration américaine.
Les prix du pétrole ont chuté, hier, à des niveaux historiquement bas, jamais enregistrés depuis quatre ans, le Brent tombant à 58,47 dollars le baril en cours de cotation, dans le sillage de l’accélération du conflit enclenché par les Etats-Unis, via les tarifs douaniers, ce qui a amené la Chine à durcir sa riposte en imposant des droits de douane supplémentaires sur les produits américains.
Dans un contexte d’incertitudes face à l’escalade des tensions commerciales et face à la chute de la valeur du billet vert, les acheteurs se tournent vers la valeur refuge que représente l’or.
Les prix du pétrole ont ouvert hier la semaine de cotation en nette baisse, prolongeant les pertes enregistrées la semaine dernière dans le sillage des nouveaux tarifs douaniers américains et la sortie inattendue de l’Opep+, qui a accéléré, sans préavis, le rythme de la mise sur le marché des quotas de huit de ses membres. Hier, l’escalade des tensions commerciales a accentué les pertes du pétrole au vu des craintes d’une récession qui réduirait la demande de brut, tandis que l’OPEP+ prépare une augmentation de l’offre. Les prix de l’or noir ont encore baissé reculant de plus de 2%, et enregistrant des valeurs très basses, jamais égalées depuis avril 2021.
La réunion du Comité ministériel conjoint de suivi (JMMC), qui a regroupé hier les principaux ministres de l’OPEP+, dont le ministre de l’Energie Mohamed Arkab, n’a pas abordé, dans le communiqué final sanctionnant ses travaux, la chute vertigineuse des prix du pétrole survenue en fin de semaine suite à la nouvelle politique américaine de tarifs douaniers et du réajustement inattendu des quotas de huit de ses membres.
Les prix du pétrole ont amorcé une importante baisse dans le sillage de l’annonce par l’administration Trump de l’imposition de tarifs douaniers à ses partenaires commerciaux, dont beaucoup enregistrent des excédents commerciaux substantiels avec les Etats-Unis. Selon les analystes, les nouveaux tarifs douaniers pourraient avoir un impact négatif sur la croissance économique et, par conséquent, sur la demande de pétrole.
Les prix du pétrole sont en nette hausse, se négociant à leur plus haut niveau depuis trois semaines. La hausse est portée par les inquiétudes concernant un resserrement de l'offre mondiale suite à la menace américaine d'imposer des droits de douane aux pays achetant du brut vénézuélien, ainsi qu'une baisse plus importante que prévu des stocks de brut américains.
Contrairement aux années précédentes, où la flambée des prix et la raréfaction de certains produits essentiels inquiétaient les consommateurs dès les premiers jours du Ramadhan, cette année, il y a eu à Mascara une stabilité remarquable des prix des produits alimentaires de large consommation.
Longtemps abandonné au sort de la spéculation, le marché des lubrifiants moteur retombe sous le monopole de l’Etat, qui devra assurer une partie de la production locale et la distribution de certains labels internationaux d’huiles, tout en veillant sur leur disponibilité.
Au mois de janvier dernier, et par rapport au mois précédent, l’indice général des prix à la consommation, au niveau national, a enregistré une hausse de 0,9%, alors que les prix des biens alimentaires ont augmenté de 1,3%, indique l’Office national des statistiques (ONS).
Le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a procédé, mercredi soir, à l’installation des commissions des Prix du président de la République Ali-Maâchi pour les jeunes créateurs, et cadets de la culture, dédié cette année à la mémoire de l’écrivain et poète, le défunt Mohamed Lakhdar Essaïhi, indique un communiqué du ministère de la Culture et des Arts.
L’Assemblée parlementaire de la Méditerranée (APM) a décerné, jeudi à Rome (Italie), le prix «PAM SustainabilityAward» au PDG du groupe Sonelgaz, Mourad Adjal, lors de la 19e session plénière de l’Assemblée, a indiqué un communiqué du ministère de l’Energie et des Mines.
FIAT El Djazair annonce le lancement du nouveau Fiat Doblò Panorama, un ludospace polyvalent conçu pour répondre à l’ensemble des besoins de mobilité des familles algériennes.
Lundi à Valence (Espagne), l’écrivain algérien Yasmina Khadra a obtenu le Prix du Parlement des écrivains de la Méditerranée, au centre culturel La Nau.
La société holding agro-industries (Agrodiv) et ses filiales lanceront, le 15 février, la vente de leurs produits au niveau des marchés de proximité avec des réductions allant jusqu’à 15%, dans le cadre de leurs efforts visant à garantir l’approvisionnement en produits de base à des prix abordables pendant le mois de Ramadhan, a indiqué un communiqué du ministère de l’Industrie.
Mohamed Arkab affirme qu’après le ralentissement saisonnier des trois premiers mois de l’année, une plus grande reprise de la demande de pétrole est à attendre à partir d’avril prochain. L’OPEP+ tient plus que jamais, et malgré les pressions, à la cohésion de ses rangs.
L’indice général des prix à la consommation, au niveau national, a enregistré durant le mois de décembre 2024, par rapport au mois précédent, une baisse de 1,2%, tandis que les prix des biens alimentaires affichent une décroissance 2,6%.
L’écrivain algérien Yasmina Khadra est l’heureux récipiendaire du prix Pepe Carvalho 2025 pour l’ensemble de son œuvre.
L’annonce d’un assouplissement des taxes à l’exportation en Argentine a plombé le marché américain. Les céréales et le soja américains sont repartis en territoire négatif ce vendredi soir à Chicago, malgré le rapide affaiblissement du dollar, favorable à la compétitivité des origines américaines sur la scène internationale.