Les prix du pétrole étaient en nette hausse hier, en réaction à la décision de l’Opep+ de prolonger les réductions volontaires de huit de ses membres, dont l’Algérie, jusqu’à la fin de l’année.
Au mois de mars 2024 et par rapport au mois précédent, l’indice général des prix à la consommation, au niveau national enregistre une hausse de près de 1,5%. Les prix des biens alimentaires augmentent de 2,2%, selon l’Office national des statistiques.
Pour le mois d’avril 2024, l’indice FAO des prix des viandes a enregistré la plus forte hausse avec une valeur moyenne de 116,3 points, soit une progression de 1,9 point (1,6%) de plus par rapport au mois de mars.
Le retrait de quelques troupes de l’armée sioniste du sud de la bande de Ghaza avant l’entame des négociations avec le Hamas pour un éventuel cessez-le-feu a donné un signe d’apaisement au marché pétrolier.
Bien que le département du commerce n’eut de cesse d’exhorter les agents économiques à intensifier la fluidité des ventes de vêtements de l’Aïd pour les bambins et de proposer des services et des produits à des tarifs bas et compétitifs, les prix du prêt-à-porter n’en restent pas moins exorbitants pour les ménages.
L’indice FAO du prix des huiles végétales a bondit de 8%, «atteignant son record sur un an», souligne la FAO dans son rapport mensuel, notant que «les cotations des huiles de palme, de soja, de tournesol et de colza ont toutes augmenté».
Après Goldman Sachs, une autre banque américaine revoit ses prévisions pour les prix du brut pour l’année 2024. En raison de l’évolution des événements et l’escalade des tensions géopolitiques ainsi que le maintien de la réduction de l’offre pétrolière des pays de l’OPEP+, Bank of America Global Research a annoncé hier une nouvelle projection et s’attend désormais à une moyenne de 86 dollars le baril pour le Brent et de 81 dollars pour le West Texas Intermediate.
En ces journées du mois sacré, nous remarquons une certaine clémence dans les prix des produits alimentaires dans la wilaya de Tizi Ouzou. La troisième semaine du ramadan n’est pas en reste de la première et de la deuxième aussi en matière de disponibilité des produits.
Des tarifs promotionnels et attractifs surplombent les stands ouverts au public à Souk Errahma de Ouargla, un marché solidaire et citoyen qui se veut l’ancrage d’une expérience positive de régulation des prix, surtout durant le mois sacré du ramadhan.
Selon l’ONS, les importations depuis le Maghreb, les pays arabes et de l’Afrique ont progressé en 2022 de respectivement 64,2%, 29,5% et 25,4%.
L’abondance de l’offre émane particulièrement de la Russie, qui prévoit la troisième récolte consécutive importante cette année avec un record de pas moins de 5 millions de tonnes de blé attendus pour le mois en cours. La Russie s’est imposée ces dernières années comme fournisseur incontournable d’un large spectre de clients dans différentes régions du monde.
La baisse des prix ces derniers jours a concerné presque tous les légumes. Les agrumes sont cédés à des prix abordables, vu la production exceptionnelle de cette année. Reste que les viandes locales sont toujours inaccessibles.
Le pétrole s’est nettement raffermi ces dernières semaines, en raison d’un resserrement du marché mondial du brut. Les prix devraient ainsi enregistrer un nouveau gain cette semaine, après avoir gagné environ 3% la semaine dernière, dans un contexte de demande robuste et de tensions croissantes au niveau de l’offre.
Les prix du pétrole ont continué de progresser hier consolidant les gains de près de 4% de la semaine dernière dans un contexte de resserrement de l’offre, confirmé par les prévisions de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
Tayeb Zitouni a rappelé que «l’approche participative fait partie intégrante de la stratégie du ministère». Elle constitue, a-t-il précisé, «un facteur clé» dans l’organisation du marché national et dans la promotion de la croissance économique.
L’indice de l’organisation des Nations unies pour l’alimentation pour le mois de février 2024 a enregistré une baisse de 0,9 point par rapport à son niveau du mois précédent, en s’établissant à 117,3 points.
Des tarifs promotionnels et attractifs surplombent les stands ouverts au public à Souk Errahma de Ouargla, un marché solidaire et citoyen qui se veut l’ancrage d’une expérience positive de régulation des prix à la veille du mois sacré du Ramadhan.
Les prix du pétrole se stabilisent au dessus de 80 dollars le baril, aidés par l’annonce des réductions volontaires de la production annoncés le 3 mars, par plusieurs pays Opep+.
Les prix des biens alimentaires enregistrent une baisse de 0,9% en janvier 2024 par rapport au mois précédent, qui s’est caractérisé par la même tendance avec une variation plus élevée, soit -1,6%. Les prix des produits agricoles frais affichent une baisse de 1,6%.
Le ministre du Commerce et de la promotion des exportations Tayeb Zitouni a souligné que «les produits seront non seulement disponibles en quantités suffisantes mais à des prix abordables».