C’est l’histoire de destins individuels et d’un idéal commun : celui de la libération nationale. Les écrits d’acteurs de la Guerre de Libération foisonnent. Des personnalités, souvent connues mais parfois de parfaits anonymes, publient leurs mémoires.
La militante et amie de la Révolution algérienne, Eliette Loup, est décédée à l'âge de 89 ans, a indiqué, hier, le ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit. En cette douloureuse circonstance, le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, a adressé à la famille de la défunte ainsi qu'à ses compagnons de lutte et aux amis de la Révolution algérienne, «ses sincères condoléances et profonds sentiments de compassion, priant Dieu Tout-Puissant de leur prêter patience et réconfort».
De la vie, Christiane aura beaucoup connu le spectacle affreux des inégalités et des injustices, l’oppression criante, l’engagement et le combat pour une cause juste, celle de l’Algérie en guerre.
Durant cinq semaines, le journaliste- réalisateur, Touhami Tayeb, accompagné par son équipe technique, avait sillonné différents terrains des communes de Menaceur, Sidi-Sémiane, Cherchell, Hadjout et Tipasa, afin de recueillir les témoignages des authentiques «acteurs et actrices», qui avaient eu un lien direct avec l’une des héroïnes algériennes oubliées, qui avait sacrifié sa vie pour l’indépendance de sa patrie, en l’occurrence Yamina Oudaï.
La moudjahida Djamila Boupacha affirme avoir refusé de siéger au Conseil de la nation.