Alors que le bilan de la guerre génocidaire israélienne contre la population de Ghaza a dépassé la barre des 51 000 Palestiniens tués, le Maroc figure parmi les 4 pays, à savoir Tunisie, Ghana, Sénégal, qui accueilleront l’exercice militaire «African Lion», pour son édition de 2025, sous le commandement de l’armée américaine.
L’historien et défenseur marocain des droits humains Maâti Monjib a indiqué que la corruption était partout au Maroc, soulignant que le régime du Makhzen s’appuyait sur la répression et semait la peur au sein de la population marocaine, dans le but de renforcer son contrôle sur le pays.
Dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes entre l’Algérie et le Maroc, une cyberattaque d’ampleur inédite a visé, le 8 avril courant, des institutions marocaines clés. Réclamée par le collectif de hackers algériens «JabaRoot DZ», l’opération a débuté par l’intrusion du site du ministère de l’Emploi pour s’étendre ensuite à la base de données de la Caisse nationale de la sécurité sociale (CNSS), entraînant la publication de milliers de documents sensibles.
L’Algérie déplore la confirmation de la position américaine reconnaissant la «souveraineté marocaine sur le Sahara occidental» et appuyant le plan d’autonomie «comme seule solution» à ce conflit. «L’Algérie a pris connaissance de la réaffirmation par le Département d’Etat de la position des Etats-Unis d’Amérique considérant le plan d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine comme la seule solution au conflit du Sahara occidental», indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, rendu public hier.
Des manifestations ont eu lieu vendredi soir dans plusieurs villes marocaines à l’appel du Groupe d’action national pour la Palestine et le Front marocain de soutien à la Palestine et contre la normalisation, exigeant une cessation de toutes les formes de normalisation avec l’entité sioniste et condamnant l’agression sioniste barbare en cours contre la bande de Ghaza.
Le marché de la tomate est devenu un véritable champ de bataille économique entre l’Union européenne et le Maroc.
Le cas de Fouad Abdelmoumni n’est pas isolé. Ces dernières années, le Maroc a intensifié ses mesures contre les voix dissidentes. Journalistes, activistes et opposants politiques sont régulièrement poursuivis pour des motifs fallacieux allant de la «diffusion de fausses nouvelles» à «l’atteinte à la sécurité de l’Etat».
Le président colombien Gustavo Petro a salué «la chute» du baron de la drogue marocain, Mounir Namoussi, après son arrestation par les forces de sécurité en Colombie, soulignant qu’il s’agit d’un exemple de la multinationalisation de la mafia de la cocaïne, ont rapporté des médias.
La police espagnole a démantelé à Marbella dans le sud de l’Espagne un réseau de trafic international de stupéfiants ayant des liens avec une organisation marocaine spécialisée dans le trafic de drogues et le crime organisé, a annoncé le site officiel du ministère de l’Intérieur espagnol.
Le Maroc d’aujourd’hui n’est plus le Maroc d’antan, ce Maroc où on cultivait la solidarité et la fraternité intermaghrébine, marquée par un soutien résolu à la lutte du peuple algérien contre le colonialisme français et pour son émancipation.
Les Marocains souffrent d’une baisse significative de leur niveau de vie, laquelle se trouve aggraver par une flambée de prix qui s’installe dans le temps. Inflation, chômage endémique, sécheresse, pauvreté extrême, disparités sociales…
Le Maroc traverse actuellement l’une des périodes les plus critiques de son histoire récente en matière de ressources hydriques. Confronté à une sécheresse persistante depuis plusieurs années, le royaume chérifien voit ses réserves en eau s’épuiser à un rythme alarmant, exacerbant un stress hydrique déjà structurel.
Les éléments du groupement de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’El Bayadh ont saisi cette semaine plus de 400 kg de kif traité, dont l’origine est directement imputable aux réseaux criminels marocains. Cette saisie record, orchestrée avec une précision redoutable par la brigade de Sidi Tifour, marque un tournant dans la lutte contre le trafic des stupéfiants.
Le proverbe arabe prescrit : «Autant de douleur que de cris.» Comme si cette sagesse avait été exprimée pour décrire l’état d’esprit du voisin de l’Ouest qui n’a pu dissimuler son immense peine suite à la visite qu’a effectuée récemment en Syrie, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf. Et cette douleur profonde n’aurait pas pu être aussi fidèlement exprimée que par les cris lancés par les thuriféraires obscènes engagés par le royaume sur les médias sociaux et sur leurs différents sites d’information ou plutôt de propagande.
Les manifestants scandaient : «L’argent du peuple est parti où ? Il est à Panama et a été gaspillé dans les fêtes des riches» ou encore : «Wahya, wahya, wahya, wahya… Ce gouvernement est une mafia.»
L’Algérie n’est pas citée dans ce rapport, sa dette extérieure est tout simplement insignifiante.
La sélection nationale de football est depuis lundi soir fixée sur ses adversaires au premier tour de la phase de la CAN-2025 qui aura lieu au Maroc (21 décembre 2025-18 janvier 2026), à l’issue du tirage au sort effectué à Rabat en présence de représentants des pays participants.
Dans un article publié vendredi par le journal espagnol El Público, le journaliste José Carmona révèle comment le Maroc utilise le tourisme pour promouvoir son occupation du Sahara occidental tout en masquant une répression féroce contre les Sahraouis, en particulier dans la ville occupée de Dakhla.
Ressassant un discours qui n’est pas nouveau et qui s’inscrit dans une vision expansionniste de la monarchie marocaine, Benkirane se saisit d’une opportunité pour tenter de raviver des revendications expansionnistes, défendues dans les années 1950 par Allal El Fassi, du parti Istiqlal.
L’article est revenu sur l’alliance du sultan marocain Abderrahmane avec le colonialisme français contre la Résistance menée par l’Emir Abdelkader face à un ennemi servi davantage par la trahison marocaine contre l’Algérie que par ses armes.