Après avoir été reportée en signe de solidarité envers le peuple palestinien, la journée consacrée à la remise du Prix du journaliste professionnel par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, était prévue pour hier.
Plusieurs personnalités arabes et africaines, des journalistes et des éditeurs de différentes institutions médiatiques publiques et privées, des personnalités nationales et des membres du gouvernement ont pris part hier à la conférence sur «L’information et les défis actuels» organisée par le ministère de la Communication au Centre international des conférences (CIC).
Dans de telles conditions, comment ne pas s’interroger sur la reconnaissance des compétences de nos journalistes diplômés tant sur notre sol qu’à l’international ? Nos journalistes essayent tant bien que mal d’honorer leur rôle de trait d’union entre la société, les autorités nationales et locale.
D’abord, à l’occasion de ses 33 ans d’existence, tout en étant un fidèle lecteur contributeur depuis 1991 et attentif de votre journal El Watan (la Patrie), dont le titre porte et tire bien son nom, qu’on aime à lire chaque jour, c’est un journal pour lequel j’ai beaucoup d’admiration, car il s’inscrit en droite ligne avec l’ouverture démocratique.