Depuis son lancement en mois de janvier dernier, la plateforme de l’Agence Nationale de l’Auto-Entrepreneur, « anae.dz », connaît un engouement significatif important. Près de 42 000 utilisateurs s’y sont inscrits et plus de 10 000 cartes d’auto-entrepreneurs ont été distribuées.
En Algérie, elles sont plus de 1000 entreprises à avoir obtenu le label de start-up sur un total de 4000 sociétés enregistrées pour création et le nombre d’incubateurs est passé de 10 en 2020 à 60 en 2022. C’est ce qu’a révélé ce lundi devant les membres de la commission des affaires économiques, du développement, du commerce et de la planification de l’Assemblée populaire nationale (APN) Yacine El Mahdi Oualid, ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-Entreprises.
Le nombre de projets soutenus depuis la création de la Commission nationale de coordination, du suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires (CNCSIIU), dans le sillage de la mise en application de l’arrêté 1275, pas moins de 6058 projets innovants ont été soutenus par des étudiants en licence, en mastère et même en doctorat, à travers les différentes universités du pays.
L’objectif affiché par cette initiative supervisée par Noureddine Benbraham, président de l’Observatoire national de la société civile, est de renforcer le développement de l’entrepreneuriat et le développement durable en activant les mécanismes de l’esprit entrepreneurial social et solidaire chez les jeunes porteurs de projets.
Le groupe Télécom Algérie a lancé son premier incubateur en partenariat avec l'université des sciences et de la technologie Houari Boumediène (USTHB), dans le but d'inculquer «l'esprit entrepreneurial chez les étudiants» et de les inciter à «participer activement au développement de projets novateurs», a indiqué hier un communiqué du Groupe.
La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou, a insisté, jeudi à Alger, sur l’accompagnement des personnes aux besoins spécifiques pour faciliter davantage leur accès à l’entrepreneuriat et assurer ainsi leur intégration économique.
Le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yacine El Mahdi Oualid, a présidé, hier à Alger, la cérémonie de lancement de l'Agence nationale de l'auto-entrepreneur (ANAE), ainsi que sa plateforme numérique dédiée à l'obtention de la carte de l'auto-entrepreneur.
La troisième édition du Salon de wilaya de l’entrepreneuriat et de l’innovation s’est ouverte mardi à la salle omnisports Salem Mayouf de la ville de M’sila, à l’initiative de la direction de wilaya de la Formation et de l’enseignement professionnels.
Plus de 11 000 projets innovants ont été enregistrés au niveau des incubateurs universitaires en Algérie, selon le président de la Commission nationale d'accompagnement de l'innovation et des incubateurs universitaires, Ahmed Mir.
Ce rendez-vous, organisé par le Conseil supérieur de la jeunesse à Tizi Ouzou, a réuni des propriétaires de start-up, de micro et moyennes entreprises ainsi que des porteurs d’idées innovantes et des chercheurs venus des 58 wilayas du pays.
Une rencontre consacrée à l'entrepreneuriat et au rôle des startups dans le développement socioéconomique s'est déroulée à Ghardaïa, en marge de la célébration de la Journée mondiale de l'entrepreneuriat.
La plateforme numérique Iamal, initiée par Diar Dzair e-commerce et innovation, représente une avancée significative dans le paysage entrepreneurial algérien en tant que première plateforme de ce genre dédiée au soutien et à l'accompagnement de diverses entreprises.
L’Agence nationale d’appui et de développement à l’entrepreneuriat (NASDA) de Tipasa avait clôturé la semaine mondiale de l’entrepreuneuriat par l’organisation, mercredi dernier, d’une conférence au profit des étudiants et du personnel pédagogique de l’Ecole nationale supérieure de la conservation et de restauration des biens culturels (ENSCRBC) de Tipasa.
La part de la recherche développement (R&D) dans les entreprises algériennes, qu’elles soient privées ou publiques, est toujours insignifiante alors que c’est la clé de l’innovation. En dépit des tentatives successives des pouvoirs publics de mettre en place des politiques d’innovation, à même de permettre la construction d’un système national d’innovation (SNI) efficace, les résultats restent timides en matière d’encouragement de l’entrepreneuriat ; de création d’emplois et d’améliorer les performances de l’économie nationale.
La stratégie de l’entrepreneuriat en milieu universitaire, si elle a été consolidée par l’introduction de l’arrêté 1275 portant sur le mécanisme «un diplôme, une startup/un diplôme, un brevet», nécessite d’autres dispositifs pour un ancrage pérenne.
La 2e édition du Salon «L’Algérie de l’entrepreneuriat, de la formation et des réseaux professionnels» sera organisée du 15 au 17 juin à Annaba, selon un communiqué de l’entreprise organisatrice, «Galacticom», spécialisée dans l’événementiel professionnel.
L’agence de notation Standard &Poor’s a mis en lumière le frappant écart entre les hommes et les femmes en matière d’accès aux sources de financement et l’idée collective que l’on se fait, à ce jour, de la femme chef d’entreprise.
Un atelier de restitution et de consultation a été organisé le 10 mars à Alger, autour des résultats de l’étude «Cadre stratégique pour un environnement favorable aux micro-entreprises durables en Algérie».