Si l’envie d’indépendance est largement partagée, les formations politiques en lice pour se disputer les 31 sièges du Parlement divergent sur le calendrier : «fast track» (voie rapide) ou plus long terme ?
Prévu initialement le 27 février, le Sommet arabe d’urgence consacré à la reconstruction et l’administration de la bande de Ghaza a fini par se tenir hier, au Caire. Le conclave se devait de formuler une proposition unanime à même de contrer celle de Donald Trump.
La guerre commerciale initiée par les Etats-Unis se confirme. Elle vient de prendre de nouvelles proportions avec des surtaxes douanières ciblant trois pays : le Canada, le Mexique et la Chine.
Leur pétition a été publiée jeudi dernier, alors qu’une vidéo, attribuée à Trump, intitulée «Ghaza 2025, quelle est la prochaine étape ?» et diffusée sur la plateforme Truth Social, montre, à l’aide de l’intelligence artificielle, «l’avenir» de l’enclave en 2025, à travers des images de Palestiniens marchant sur les décombres avant de s’installer dans une ville balnéaire.
Le Premier ministre britannique tentera de convaincre Trump sur le fait que Kiev doit être impliqué dans les négociations pour mettre fin au conflit ukrainien, alors que Washington a choqué l’Europe en entamant ces négociations avec la seule Russie.
Depuis son investiture le 20 janvier dernier, le président américain Donald Trump a multiplié les menaces et les déclarations hostiles à l’encontre de nombreux pays, alliés comme adversaires. Mêlant menaces d’imposition de droits de douane et d’annexion de territoires souverains, ces déclarations s’inscrivent dans ce que l’on appelle communément la «stratégie du fou».
Cet anniversaire intervient en plein revirement américain, les Etats-Unis de Donald Trump négociant directement avec Moscou et se montrant très critiques du président ukrainien, lui faisant porter la responsabilité de l'offensive russe lancée le 24 février 2022.
Après l'acier et l'aluminium, Donald Trump agite la menace de droits de douane de 25% sur les semi-conducteurs, l'automobile et les médicaments. Le président américain a signé un mémo visant à freiner les investissements chinois dans des secteurs stratégiques américains, dont la technologie et les infrastructures critiques, une initiative fermement dénoncée, selon l’AFP, samedi par Pékin, qui la juge «discriminatoire».
Le président Donald Trump a ordonné vendredi dernier à son commissaire au commerce de relancer les enquêtes visant à imposer des droits de douane sur les importations en provenance de pays qui prélèvent des taxes sur les services numériques auprès des entreprises technologiques américaines.
Donald Trump n’est pas près d’interrompre son offensive contre les partenaires commerciaux des Etats-Unis, en annonçant qu’il pourrait établir dès avril d’importants droits de douane sur les voitures importées, mais aussi les semi-conducteurs et le secteur pharmaceutique.
L'Arabie Saoudite accueille aujourd’hui une réunion américano-russe pour préparer le sommet Trump-Poutine sur l'Ukraine. Côté américain, le secrétaire d'Etat Marco Rubio est arrivé hier en Arabie Saoudite. Il doit être accompagné du conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz, et de l'envoyé spécial pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.
Un mini-sommet arabe auquel prendront part cinq pays du Moyen-Orient se tiendra le 20 février à Riyad, en Arabie Saoudite, pour proposer une alternative au plan de Trump pour Ghaza.
Le procureur en chef de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, et les membres de sa famille sont désormais interdits d’accès aux Etats-Unis, et leurs comptes sont gelés, en vertu du décret du président américain, Donald Trump l Karim Khan est le premier fonctionnaire de la CPI à faire l’objet de sanctions économiques imposées par Trump à la juridiction, pour ses enquêtes sur la guerre génocidaire menée par Israël à Ghaza. De nationalité britannique, le procureur a été porté sur la liste des personnes qui «porteraient atteinte aux intérêts américains» et à ceux de leurs «alliés». Il ne pourra plus se déplacer à New York pour informer le Conseil de sécurité de l’ONU des affaires renvoyées devant la CPI.
La guerre commerciale que mène Donald Trump, le 47e président des Etats-Unis, depuis son investiture le 20 janvier dernier vient de franchir un autre palier ce jeudi. Il vient d’instruire ses équipes de recenser toutes les disparités commerciales entre les Etats-Unis et le reste du monde à l’effet de les éliminer.
Alors que le président égyptien Abdel Fattah Al Sissi menace de ne pas se rendre à Washington pour des entretiens avec le président américain Donal Trump, «si l’ordre du jour comprend son plan de déportation des Palestiniens de Ghaza», le roi Abdallah de Jordanie, premier chef d’Etat arabe reçu par Trump, a été soumis à de fortes pressions, visiblement très mal à l’aise à cette conférence conjointe, durant laquelle il ne s’est pas exprimé explicitement contre le plan d’expulsion des Ghazaouis de leur terre, pour s’en accaparer.
Le président américain, Donald Trump, a signé lundi un décret fixant au 12 mars la date d’entrée en vigueur des nouveaux droits de douane de 25% sur l’acier et l’aluminium, «sans exception».
Depuis son retour à la Maison-Blanche il y a moins d’un mois, Donald Trump ne fait que multiplier les foucades les plus délirantes. Parmi ses dernières outrances, sa récente déclaration sur Ghaza faite le 28 janvier où il ne proposait rien de moins que de «nettoyer» démographiquement l’enclave palestinienne dévastée par quinze mois de guerre en la vidant de sa population qu’il persiste à vouloir dispatcher entre l’Egypte et la Jordanie./
Même si beaucoup s’attendaient à ce que le président américain, Donald Trump, contourne l’invalidation par les démocrate au Sénat de la loi portant sur des sanctions contre la Cour pénale internationale (CPI), à travers un décret exécutif, la signature de ce dernier, dans la nuit de jeudi à hier, et la déclaration «d’urgence nationale pour répondre à la menace posée par les efforts de la CPI» ont fait l’effet d’une bombe et suscité des réactions virulentes, y compris parmi les plus puissants des alliés de Washington.
Sommes-nous en train de traverser une sérieuse zone de turbulences, une étape historique du monde, qui, s’il n’a point accouché de «nouveautés» réjouissantes annoncées après une bipolarisation neutralisante de près d’un demi-siècle, s’engage dans une voie dangereuse, donnant au nouvel ordre mondial une image très caricaturale, qui pourrait, au train où vont les choses accélérées, aboutir à un bien triste désordre mondial ?
L ’arrivée au pouvoir de Donald Trump était attendue avec appréhension par le monde entier, car il est connu pour être imprévisible, partisan du chaos, qui ne respecte ni les peuples ni les Etats.