Les États-Unis et la Chine ont annoncé qu'ils se sont mis d'accord pour engager des "échanges intensifs sur une croissance équilibrée", selon un communiqué du département du Trésor américain publié ce samedi 6 avril, à l'issue de deux jours de discussions entre la secrétaire au Trésor Janet Yellen et son homologue chinois He Lifeng à Canton (également connu sous le nom de Guangzhou).
La croissance mondiale est en phase de ralentissement historique, affectant davantage les pays émergents et en voie de développement, impliquant ipso facto un recours incontournable à des réformes structurelles.
L’interaction des crises mondiales et régionales avec les faiblesses structurelles régionales existantes menace d’interrompre la reprise économique progressive de l’Afrique et entrave les développements socio-économiques.
La révolution de l’Intelligence artificielle générative (IAG) est enclenchée et elle ne manquera pas d’impacter tous les aspects de la vie des individus et des nations. Si certaines des transformations qui seront véhiculées par l’IAG promettent d’être positives, d’autres en revanche seront porteuses de sérieux risques et défis.
L’Organisation des Nations unies prévoit un ralentissement de la croissance économique mondiale pour l’année 2024. Dans un rapport sur la «Situation et perspectives de l’économie mondiale», publié par le département des Affaires économiques et sociales de l’ONU, le taux de croissance, qui a été de 2,7% en 2023, passera à 2,4% en 2024, toujours bien inférieur au niveau d’avant la pandémie de Covid-19 (3%).
Les flux de production, de consommation et d’accumulation qui se sont produits en Algérie durant le premier trimestre de l’année en cours ont été rendus publics par l’Office national des statistiques (ONS), et ce, par le biais d’une publication sur les compte nationaux trimestriels (CNT).
L’économie mondiale passera le reste de la décennie au ralenti. Un nouveau rapport de la Banque mondiale s’attend à une baisse de la croissance de long terme qui devrait s’établir en moyenne à 2,2% jusqu’à 2030 faisant de cette décennie «celle à la plus faible croissance depuis le début du siècle».
A l’ère où le débat s’accentue à l’échelle mondiale sur la transition vers l’économie verte, un point qui s’inscrit dans le cadre des Objectifs de développement durable à l’horizon 2030, les entreprises algériennes sont appelées à se positionner dans ce segment et à saisir les opportunités qu’offre ce changement. Mais également à prendre conscience des enjeux de cette transition.