Les jeunes pousses de l’équipe nationale sénégalaise de football affronteront leurs homologues burkinabè dans un palpitant face-à-face qui promet beaucoup, pour atteindre la grande finale dimanche au stade du 19 mai 1956 à Annaba (17h00) pour le compte des demi-finales de la Coupe d’Afrique des nations des moins de 17 ans, organisée par l’Algérie (29 avril-19 mai).
L’état d’urgence, en vigueur depuis mars dans 8 des 13 régions du Burkina Faso, pays en proie à des attaques djihadistes meurtrières récurrentes, a été prolongé vendredi de six mois par l’Assemblée législative de transition, selon un communiqué publié hier.
Le rideau est tombé sur le premier tour de la Coupe d’Afrique des nations (CAN U17) qui se déroule en Algérie (29 avril-19 mai) avec la qualification du Burkina Faso aux dépens du Cameroun (2-1), dimanche soir au stade du 19 mai 1956 d’Annaba, pour le compte de la troisième journée du groupe C.
Une organisation burkinabè de défense des droits humains a comptabilisé 136 civils, dont 50 femmes et 21 enfants, tués le 20 avril dans le village de Karma (nord du Burkina Faso) par des hommes portant des tenues de l’armée.
La sélection nationale des moins de 17 ans (U17) a fait match nul (1-1) face au Burkina Faso lors de sa deuxième sortie amicale mardi soir, disputée cette fois au stade Nelson Mandela de Baraki.
Les correspondantes des quotidiens français Le Monde et Libération au Burkina Faso ont été expulsées de ce pays samedi soir, ont annoncé hier leurs rédactions.
L’armée burkinabè a neutralisé, dimanche, dans la zone d’Oursi (nord), une quarantaine de terroristes lors d’une opération aérienne, a rapporté l’Agence d’information du Burkina Faso (AIB).
Le Burkina Faso a coupé la diffusion de France 24 sur son territoire à la suite d’une interview du chef d’Al Qaîda au Maghreb islamique (AQMI), une décision que la chaîne française «déplore vivement».
Près d’une école sur quatre est fermée au Burkina Faso en raison des violences djihadistes qui minent le pays depuis 2015 et s’intensifient depuis plusieurs mois, a affirmé hier l’ONG norvégienne dans un communiqué.
Le Burkina Faso a entamé hier un deuil national de trois jours après l’attaque dans la nuit de samedi à dimanche à Seytenga, la plus meurtrière depuis un an dans ce pays régulièrement frappé par les djihadistes depuis 2015.
L’avocat de la famille Sankara, Guy Hervé Kam, a fait part de son «sentiment de satisfaction». «Aujourd’hui, je peux dire que je suis fier d’être Burkinabè et avocat. Je suis fier de voir l’aboutissement d’un combat judiciaire de près de 30 ans», a-t-il ajouté.
L'ancien président du Burkina Faso Blaise Compaoré, a été condamné mercredi 6 avril par contumace à la prison à perpétuité pour sa participation à l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d'un coup d'Etat en 1987.
Le président par intérim du Burkina Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, auteur d’un coup d’Etat le 24 janvier, a annoncé la création de comités locaux de dialogue avec des groupes armés djihadistes qui frappent son pays depuis 2015.
Exerçant depuis quelques années au Burkina Faso, la documentariste franco-algérienne Ouassila Kharoune, âgée de 33 ans, a été assassinée, hier, par un voleur qui voulait lui subtiliser son sac dans son bureau à Ouagadougou.
Des discussions sur la charte devraient rapidement s’engager désormais avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), qui a suspendu le Burkina Faso de l’organisation, le 28 janvier, en raison du coup d’Etat. Elle avait demandé aux nouvelles autorités de présenter un calendrier «raisonnable pour le retour à l’ordre constitutionnel».
Le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a été investi mercredi 16 février président du Burkina Faso par le Conseil constitutionnel, trois semaines après avoir pris le pouvoir par un coup d'Etat, lors d'une cérémonie retransmise par la télévision nationale.
Trente ans de prison ferme ont été requis hier contre l’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, accusé d’être le principal commanditaire de l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’Etat en 1987, rapporte l’AFP.
Trente ans de prison ferme ont été requis mardi 8 février contre l'ancien président du Burkina Faso Blaise Compaoré, accusé d'être le principal commanditaire de l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d'un coup d'Etat en 1987.
Le Cameroun, pays organisateur de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2021), a arraché in-extremis la troisième (3e) place en battant samedi le Burkina Faso aux tirs au but (5-3) après un match nul (3-3) dans le temps règlementaire.
Les plaidoiries dans le procès des assassins présumés de l'ex-président burkinabè Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d'un coup d'Etat en 1987, ont débuté mercredi 2 février, les avocats de la partie civile évoquant un moment attendu "par les victimes depuis 34 ans".