Après la fermeture, la semaine dernière, de deux champs pétroliers dans le Sud à cause de manifestations citoyennes à caractère social, le vent de protestation souffle désormais sur le nord du pays, où des populations menacent de bloquer l’accès à d’autres infrastructures et sites pétroliers vitaux pour l’économie libyenne.
Les situations de blocage au sein de plusieurs Assemblées communales, issues du scrutin du 27 novembre 2021, se suivent et se ressemblent dans les différentes régions du pays. Les alliances fragiles, induites par les amendements apportés à l’article 65 du code communal, n’ont pas résisté aux querelles de chapelles et intérêts étroits.
Meta, l'entreprise dirigée par Mark Zuckerberg, s'oppose vigoureusement à une récente législation exigeant des géants du monde numérique qu'ils établissent des accords commerciaux justes avec les médias pour la diffusion de leurs contenus.
Les côtes de la wilaya de Chlef, d’une longueur de 130 km entre Tipaza et Mostaganem, vont pouvoir enfin se hisser progressivement au diapason des autres villes du littoral national en matière d’infrastructures d’accueil.
Les projets avaient été annoncés lors de la tenue, le 25 juillet 2021, du Conseil des ministres. Le président de la République avait alors ordonné «le lancement, dans les plus brefs délais, de projets de dessalement d’eau de mer dans l’est, l’ouest et le centre du pays».
Une situation inédite due au fait que, dans ces communes, il n’y a eu aucune liste de candidats aux dernières élections communales anticipées qui se sont tenues le 27 octobre passé.
21 sur les 33 élus que compte l’APC de Chlef ont désapprouvé totalement, dimanche dernier, l’ordre du jour de la première session ordinaire, qui comprenait huit points liés à la gestion et au fonctionnement de cette municipalité de plus de 400 000 habitants.