L’interaction des crises mondiales et régionales avec les faiblesses structurelles régionales existantes menace d’interrompre la reprise économique progressive de l’Afrique et entrave les développements socio-économiques.
En 2023, le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) a financé une série d’opérations clés en Afrique du Nord totalisant plus de 2 milliards de dollars dans divers secteurs stratégiques.
L’Afrique centrale a enregistré une accélération de la croissance en 2022, avec un taux de croissance du PIB réel de 5,0% en 2022, contre 3,4% en 2021.
Le gazoduc transsaharien s’inscrit dans une vision globale de l’Algérie pour une meilleure intégration africaine et pour des échanges intra-africains plus accrus.
La Banque africaine de développement (BAD) s’est dotée d’une nouvelle politique de dénonciation des abus, visant notamment à renforcer sa capacité à protéger les lanceurs d’alerte, a-t-elle indiqué sur son site-web. Pour sensibiliser ses parties prenantes, internes et externes, sur cette nouvelle politique de dénonciation, le groupe de la BAD vient de lancer une campagne de six mois, selon la même source.
La Banque africaine de développement (BAD), qui prépare ses assemblées annuelles 2023, entend mobiliser l’investissement privé dont l’Afrique a besoin pour atteindre «ses objectifs urgents en matière d’adaptation au changement climatique et d’atténuation de ses effets».
L’Algérie peine toujours, semble-t-il, à mettre sur rails son ambitieux programme de modernisation des systèmes d’information (SI) de l’ensemble des banques publiques, à savoir le Crédit populaire d’Algérie (CPA), la Banque nationale d’Algérie (BNA), la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP), la Banque extérieure d’Algérie (BEA), la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) et la Banque de développement local (BDL).