Les conditions d’accès à l’Ecole supérieure de la magistrature (ESM) viennent d’être modifiées. L’accès à l’Ecole est désormais ouvert à tout candidat âgé de 27 ans au moins et de 40 ans au plus à la date du concours, précise le décret exécutif n° 22-243 fixant l’organisation de l’Ecole supérieure de la magistrature, les modalités de son fonctionnement ainsi que les conditions d’accès, le régime des études et les droits et obligations des élèves magistrats, publié au dernier Journal officiel (n°46).
Profitant de la tenue des Jeux méditerranéens, le magazine Tourisme et Voyages a consacré sa dernière édition à la destination Oran, et mis en valeur toutes les facettes du tourisme dans cette ville accueillante.
Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Yacine Hamadi a mis l’accent, vendredi à Alger, sur la nécessité de mettre en œuvre le programme de numérisation du secteur et de concrétiser les premiers pas de la coopération avec l’Organisation mondiale du tourisme (OMT).
Les récents procès suivis de condamnations à l’encontre de jeunes influenceurs imposent le débat sur la définition juridique de ce nouveau «métier» et les obligations de ceux qui le pratiquent. La loi est insuffisamment adaptée pour traiter ce genre de situation, d’autant plus que le créneau de la publicité était réservé jusqu’ici à des entités dûment agréées.
A titre préventif, le chef de l’exécutif de la wilaya de Tipasa met en garde les perturbateurs à travers son arrêté référencié 1037 du 23 mai 2022.
L’Algérien peut faire des miracles : il suffit de croire en lui. Inventeur et mécanicien surdoué, Yacine Benziada (45 ans), vit mal le fait que l’Algérie ne soit pas un fabricant de véhicules. Très au fait des secrets de l’industrie automobile, Yacine est l’auteur d’une invention inédite. Révolutionnaire.
Yacine Benziada est un inventeur qui a les idées plein la tête. Agé de 45 ans, ce génie de la mécanique passe le gros de son temps à lire les brevets d’invention relatifs au domaine de l’industrie automobile. Après le moteur à arbre à cames dont le prototype est en marche, Yacine s’est lancé de nombreux autres défis.
Dans une conjoncture économique assez délicate, marquée par le recul du pouvoir d’achat des Algériens, les vacances sont devenues pour certains de moins en moins accessibles. Si une catégorie sacrifie carrément ce moment d’évasion tant attendu surtout pour les enfants, d’autres ont du mal à concevoir l’été sans un voyage ou un déplacement, soit en Algérie ou à l’étranger.
Saci Belgat est ingénieur agronome, docteur pédologue, retraité de l’enseignement supérieur. Il est auteur de nombreux ouvrages, notamment Ecologie du littoral algérien (Editions universitaires européennes 2014), Gestion des habitats agropastoraux (Editions universitaires européennes 2015) et Une agriculture saharienne sans les oasiens ? (Ouvrage collectif, Arak éditions, 2021).
Dans l’entretien accordé à El Watan, le Dr Salim Kebba revient sur le phénomène des intoxications alimentaires. Pour lui, les causes de la hausse qui a été enregistrée au cours de l’année passée s’expliquent par le fait qu’il y a eu reprise de l’activité des commerces liés à la restauration après presque une année de restrictions sanitaires. Selon le Dr Kebba, il est temps pour les établissements de restauration et de l’agroalimentaire de se conformer à la méthode HACCP.
Le journaliste algérien et ancien correspondant du quotidien Liberté à Tamanrasset, Rabah Karèche, a obtenu, vendredi dernier, le Prix Najiba Hamrouni de la déontologie journalistique 2022. Cette distinction lui a été attribuée par l’Association tunisienne Vigilance pour la Démocratie et l’Etat civique.
Une délégation de l’Association Josette et Maurice Audin (AJMA) arrive en Algérie aujourd’hui pour une visite qui s’étalera jusqu’au 6 juin.
Rabie Hammouda, reporter et producteur à la Radio algérienne d’expression amazighe Chaîne II, revient sur le tour de la pentapole du M’zab, qu’il a lancé en collaboration avec l’Office de protection et promotion de la vallée du M’zab (OPVM).
L’huile d’olive algérienne continue de se distinguer à l’international par sa grande qualité.
Un oléiculteur algérien de Aïn Oussara (wilaya de Djelfa) vient de remporter la médaille d’or au concours international de l’huile d’olive extra vierge JOOP (Japan Olive Oil Prize), dans la catégorie mono-variété Chemlali, selon les organisateurs de cette compétition.
La chaîne de radiodiffusion britannique BBC (British Broadcasting Corportation) a consacré un long reportage à la vallée du M’zab présentée comme la «Pentapolis» de l’Algérie ayant conservé ses traditions séculaires, sa solidarité communautaire et son mode de vie pendant plus de 1000 ans, en dépit de l’existence des multiples aléas.
La compagnie aérienne Emirates a organisé mardi dernier au «restaurant 101» du Holiday Inn un iftar avec les médias et des journalistes spécialisés dans le tourisme et l’aérien.
Après une absence due à la crise sanitaire de la Covid-19, la compagnie aérienne Emirates est de nouveau dans le ciel algérien. Elle veut jouer les premiers rôles dans un secteur très concurrentiel en se mettant en position de décollage immédiat. Dans cet entretien, Omar Alhemeiri, Country Manager d’Emirates Algérie, nous livre son analyse sur le trafic aérien post-Covid-19 et ses missions prioritaires.
Le tourisme alternatif a la cote. Cette offre touristique se développe pour s’adapter à tous les budgets et à toutes les envies. Ce type de voyage a été bouleversé notamment par le numérique (Internet) et un besoin d’expériences fortes. C’est une occasion unique de se ressourcer et se donner au rythme du désert par exemple avec ses lumières magiques. Le temps s’écoule lentement loin du monde. Les touristes profitent de la nature.
Comment peut-on définir le tourisme alternatif ? Est-il une mode passagère ou une tendance lourde ? A mon avis, et cela ne m’engage que moi, ni l’un ni l’autre. Si l’on dit que c’est une mode passagère, cela veut dire que le besoin de mettre en valeur les ressources naturelles, sociales et culturelles des destinations ainsi que celui de découvrir et de préserver la nature, ou encore de veiller que les recettes touristiques participent au développement des économies locales n’a pas d’ancrage socio-économique et culturel. Or, ce besoin, y compris celui de payer les prestataires et salariés locaux au juste prix de leurs efforts répond à une mutation socio-économique et culturelle aussi bien chez le touriste que chez les populations des territoires visités.