Les travaux de la 47e conférence de la Coordination européenne pour le soutien et la solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco) ont pris fin samedi soir à Tolède (Espagne) avec l’adoption d’une déclaration finale dans laquelle le soutien au peuple sahraoui dans sa lutte pour l’autodétermination et l’indépendance a été réitéré.
Des représentants d’Afrique et d’Amérique latine ont réitéré, hier, à Tolède (Espagne), leur soutien à la lutte du peuple sahraoui pour l’autodétermination et l’indépendance. «L’Afrique du Sud apporte son soutien et sa solidarité au peuple sahraoui dans sa lutte pour l’indépendance, l’autodétermination et l’intégrité territoriale de son pays», a indiqué à l’APS le premier secrétaire politique de l’ambassade sud-africaine en Algérie, Bernard Legodo Koporo, au lendemain de la clôture de la 47e conférence de la Coordination européenne pour le soutien et la solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco).
Les Philippines ont affirmé hier qu’une «nuée» de plus de 135 bateaux chinois s’est déployée autour du récif Whitsun, qu’elles revendiquent, jugeant cette présence massive «alarmante», rapporte l’AFP. Les bateaux chinois sont «éparpillés» autour dudit récif que les Philippines appellent récif Julian Felipe, à environ 320 kilomètres à l’ouest de l’île de Palawan, selon les garde-côtes philippins.
Le représentant du Front Polisario en Suisse et auprès de l’ONU et des organisations internationales à Genève, Oubi Bouchraya Bachir, a affirmé hier à Tolède (Espagne) que la décision du gouvernement allemand d’exclure tout financement de projets du géant des énergies alternatives Siemens au Sahara occidental occupé, traduit la véritable position de l’Allemagne concernant le statut de ce territoire non autonome et témoigne de sa volonté à respecter le droit international.
Des milliers de manifestants ont une nouvelle fois dénoncé, hier à Madrid, le projet d’amnistie des indépendantistes catalans poursuivis pour la tentative avortée de sécession de 2017, grâce auquel le socialiste Pedro Sanchez a obtenu leur soutien pour gouverner l’Espagne pendant quatre années supplémentaires, rapporte l’AFP.
Kiev et Varsovie ouvriront aujourd’hui une voie supplémentaire pour les camions vides venant d’Ukraine et allant en Pologne, ont annoncé, hier, les autorités ukrainiennes, qui espèrent que cette décision aidera à débloquer la frontière, paralysée par un mouvement de protestation de routiers polonais, a rapporté, hier, l’AFP.
Le média français Le Monde a vivement réagi dimanche à la "suspension" de sa diffusion au Burkina Faso par le régime militaire en place. Le journal a condamné cette décision, soulignant qu'elle faisait suite à la publication d'un article sur l'attaque jihadiste du 26 novembre sur une base militaire à Djibo.
Les Philippines ont signalé dimanche la présence d'une «nuée» de plus de 135 bateaux chinois déployés autour du récif qu'elles revendiquent, qualifiant cette concentration massive de «préoccupante».
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko, fidèle allié de Moscou, effectue une visite en Chine ce dimanche et ce lundi pour rencontrer son homologue Xi Jinping, a annoncé la présidence biélorusse.
Le président de la Guinée-Bissau a condamné fermement une « tentative de coup d'État » survenue ce samedi, qui a entraîné des affrontements entre l'armée et des éléments des forces de sécurité, provoquant au moins deux décès.
Après des rassemblements d'ultradroite et des actes de vandalisme perpétrés sur des mosquées, la Grande mosquée de Paris a lancé un appel à un «sursaut républicain» ce samedi 2 décembre afin de contrer les dérives extrémistes et de garantir une «meilleure protection» des lieux de culte musulmans.
Depuis le vendredi 1er décembre, un avion est porté disparu au large des Saintes, en mer des Caraïbes, comme l'a annoncé la préfecture de Guadeloupe dans un communiqué samedi. Des opérations de recherche sont actuellement en cours pour localiser l'aéronef et ses occupants.
La secousse, qui a été suivie samedi de quatre répliques puissantes, a fait au moins deux morts et quatre blessés.
Le Burkina Faso et le Niger, deux pays gouvernés par des régimes militaires arrivés au pouvoir par des coups d'État, ont annoncé samedi s'être retirés de l'organisation antidjihadiste G5 Sahel, suivant l'exemple de leur voisin malien, parti en mai 2022.
Lors de la 47e conférence de la Coordination européenne de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui, qui s’est déroulée à Tolède, à environ 80 kilomètres de Madrid, le Premier ministre de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Boucharaya Hamudi Beyun, a tenu une conférence de presse l Il a mis l’accent sur la nécessité pour le gouvernement espagnol de ne pas adopter la position du Maroc l Hamudi Beyun a insisté sur l’importance de soutenir le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui et de ne pas prendre parti pour Rabat dans son occupation des territoires de la RASD.
l Les belligérants libyens sont d’accord sur la nécessité de tenir des élections ; ils sont divisés sur les moyens de les réaliser l Fait nouveau, 76 municipalités sur les 120 existantes, de l’Ouest, de l’Est et du Sud, ont également crié leur rejet à l’approche de l’envoyé de l’ONU, Abdoulaye Bathily, ajoutant une couche de plus au magma libyen.
Après le Mali l’an dernier, le Burkina et le Niger ont annoncé, hier, leur départ de l’organisation antijihadiste G5 Sahel qui semble désormais vouée à disparaître, neuf ans après sa création, rapporte l’AFP, citant un communiqué conjoint de Niamey et Ouagadougou.A sa naissance en 2014, pour lutter contre le terrorisme au Sahel, l’organisation était composée du Mali, du Burkina, du Niger, de la Mauritanie et du Tchad.
Quatre combattants pro-iraniens ont été tués, hier, dans des frappes israéliennes contre des sites appartenant au Hezbollah libanais, près de Damas, la capitale syrienne, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), cité par l’AFP. Les frappes ont eu lieu moins de 24 heures après la fin de la trêve dans la Bande de Ghaza entre le mouvement islamiste palestinien Hamas, allié du Hezbollah, et Israël.
La Corée du Sud a confirmé, hier, que son premier satellite d’observation militaire a bien été mis en orbite, après son transport par une fusée de SpaceX depuis la Californie la veille, rapporte l’AFP citant le ministère de la Défense. Cette réussite intervient moins de deux semaines après le lancement par Pyongyang de son propre satellite de reconnaissance militaire.
La Direction générale de la communication, de l'information et de la documentation au ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger a démenti, hier, les informations circulant sur les réseaux sociaux au sujet du Mali et qu'on attribue au ministère à travers un faux communiqué.