Desservant les wilayas de Blida, Boumerdès et Tizi Ouzou, les lignes ferroviaires de la banlieue d’Alger sont le «nerf névralgique» de la circulation des citoyens et représentent un taux de 80% de l’activité des trains opérationnels à travers le réseau national ferroviaire, le retard des dessertes ferroviaires a toutefois toujours marqué le quotidien des voyageurs.
L’entrée du centre commercial «Le Printemps» est obstruée par les marchands informels qui occupent tout le trottoir mitoyen aux deux portes du centre commercial.
La localité de Bateau Cassé, qui se trouve à quelques encablures du chef-lieu de la commune de Bordj El Kiffan, est connue pour avoir une topographie particulière. La surface de l’agglomération compte deux grandes crevasses qui se remplissent d’eau à la moindre chute de pluie. L’anarchie urbaine n’arrangeant rien, les eaux de pluie ne s’évacuent pas naturellement vers le rivage, qui se trouve pourtant à une centaine de mètres seulement des dernières habitations.
L’Agence nationale des déchets (AND) a annoncé la mise en application prochainement du système de tri sélectif des déchets au niveau des grands quartiers dans trois wilayas pilotes, avant sa généralisation progressive aux autres wilayas du pays.
Les habitants de la cité AADL des Bananiers dans la commune de Bab Ezzouar réclament depuis des années la réparation des ascenseurs qui sont en panne. Cette situation contraint les résidants des immeubles, notamment les plus âgés d’entres, à rester cloîtrés chez eux.
Les automobilistes sont toujours soumis au diktat des gardiens de parkings anarchiques. A sidi M’hamed, un gardien de parking exploite une aire de stationnement bien délimitée. Il s’agit d’une parcelle de terrain récupérée après la démolition d’une bâtisse vétuste.
Malgré une forte consommation dès les premières heures de la journée, le dispositif, annoncé par la SEAAL à l’occasion de l’Aïd El Adha a donné des résultats satisfaisants.
Inaugurée en grande pompe en 2018, la gare routière de Blida n’offre surtout pas l’image d’un établissement de service public qui fonctionne bien... et dans la transparence !
Ce lieu de mémoire de la guerre d’indépendance, et d’histoire avec sa citadelle ottomane du XVIe siècle qui surplombe la baie d’Alger, est l’un des plus beaux sites maritimes de la Méditerranée.
Les habitants de ce lotissement rencontrent plusieurs problèmes, y compris celui du retard accusé dans l’étude de leurs dossiers de conformité.
Depuis la mise en application depuis le 1er juillet de la restriction de circulation sur certains axes routiers de la capitale, les automobilistes vivent un véritable calvaire dans les embouteillages.
Une fête marquée par une ambiance et une convivialité familiales. Le spectacle a duré juque tard dans la nuit.
Le bras de fer entre le maire et certains élus de l’Assemblée va créer une situation de blocage qui n’arrange en rien les intérêts des administrés.
Le manque de moyens humains et matériels oblige les malades à se rabattre sur les établissements privés.
Les nouveaux habitants de ces deux agglomérations tentaculaires subissent nombre d’aléas.
Une cité populaire marginalisée par les pouvoirs publics.
Des superficies importantes boisées de la capitale restent occupées par des sites de baraquements.
Ces sessions, qui se sont déroulées sur une durée de trois mois, visent à «améliorer le développement local et la qualité des services prodigués aux citoyens au niveau de l’administration territoriale dans la transparence et le respect de la loi.
Le port d’Alger compte 60 sardiniers qui permettent de produire en moyenne entre 10 et 40 tonnes par jour.
Les différents exposants ont apporté leurs solutions en termes de dessalement d’eau de mer, l’épuration des eaux usées et leur réutilisation ainsi que l’intégration des équipements écologiques pour la rationalisation des ressources hydriques.