Le quartier Sidi M’hamed, dans la commune de Bab Ezzouar, est l’exemple type d’un lieu d’habitation qui ne répond à aucune norme urbaine. Une surprenante cohabitation se décline aux visiteurs, entre commerces d’alimentation générale, ateliers de carrosserie, restaurant et garages de mécanique.
Les feux tricolores sont des équipements d’une importance capitale dans la régulation de la circulation routière qui connaît une densité sans pareil dans les localités de l’est de la capitale. Sauf que nombre de ces feux sont en panne.
Le ministre des Transports, Aïssa Bekkaï, a affirmé jeudi que son secteur était déterminé à parachever «dans les meilleurs délais» le projet d’extension du métro d’Alger, de la place des Martyrs à Ouled Fayet.
Les espaces de loisirs et de divertissement de la wilaya d’Alger, fermés en raison de la propagation de la pandémie Covid-19, ont repris leurs activités mercredi, a-t-on appris auprès des responsables de ces établissements.
La création d’une zone d’activité dédiée à l’aquaculture s’est avérée un projet «mort-né». En effet, le gouvernement a mis en place un organisme public qui gère le foncier situé le long du domaine public maritime (DPM).
Le Théâtre national algérien (TNA) Mahieddine Bachtarzi difuse à partir de mercredi soir des pièces virtuelles en hommage à l’homme de théâtre Azzedine Medjoubi, à l’occasion du 27e anniversaire de son assassinat, selon le site Web de l’institution culturelle.
Pratiquant la lutte, un sport de combat depuis l’âge de 12 ans, Samy Boufatit, 44 ans, est plutôt le type raffiné dans sa vie quotidienne. Un paradoxe ! Non, selon lui. «La discipline que je pratique ne se limite pas à la bagarre, mais plutôt à un état d’esprit qui contribue à l’élévation de l’âme», estime-t-il.
Les habitants de la capitale vivent au rythme d’un trafic routier démentiel. Si le nombre grandissant de voitures est à l’origine de cette congestion persistante, il n’en demeure pas moins que l’organisation de la circulation routière présente des défaillances avérées.
Les tables de billard et de baby-foot envahissent les espaces publics et les routes. Faute de lieux de loisirs et de détente, des jeunes trouvent du plaisir à passer du temps en s’adonnant à cette «activité sportive». Les propriétaires de ces tables de jeux n’hésitent toutefois pas à les installer n’importe où, le plus important étant de drainer le maximum de clients.
Après quelques mois de l’opération d’éradication des commerces informels au niveau de la station de transport urbain à Qahouet Chergui, les vendeurs à la sauvette ont repris leurs habitudes en installant leurs étals de fortune dans les entrailles même de la station.
Des parents d’élèves craignent pour leurs enfants en raison des chiens errants qui rodent, en grand nombre, à proximité de l’école primaire de la cité AADL 3000 logements, à Sidi Bennour, dans la commune de Mahelma.
Le risque de Maladies à transmission hydrique (MTH) et autres maladies contagieuses plane sur le Douar Benziane.
A El Marsa, une fraction du littoral se trouvant entre le quartier La Carrière et le chef-lieu de la commune est en proie à des jeunes autoproclamés gardiens des lieux.
La Direction de distribution d’électricité et de gaz de Sidi Abdellah a annoncé, dimanche dans un communiqué, la reprise de sa campagne de sensibilisation aux dangers liés à la mauvaise utilisation du gaz naturel.
A Bab Ezzouar, plusieurs cités et lotissements d’habitation ont bénéficié d’équipements de puériculture. Sauf que ces équipements ne sont pas entretenus : «Quand une balançoire est cassée, elle n’est jamais réparée», confie un habitant de la cité 8 Mai 1945.
Plusieurs projets ont été réalisés au niveau des domaines agricoles, mais beaucoup reste à faire.
Un train roulant sur la ligne Agha-Zeralda a fait l’objet de jet de pierres par un groupe d’individus, quelques minutes après avoir franchi la gare de Baba Ali.
Les services de la Gendarmerie nationale de Bentalha ont élucidé une affaire de meurtre d’une sexagénaire, a indiqué, dimanche, un communiqué de la GN de la wilaya d’Alger.
Malgré les dizaines de milliers de logements construits dans la capitale, la crise du logement persiste. Dans tous les chefs-lieux de communes ou grands centres urbains, les prix sont hors de portée et un simple salarié ne peut y accéder.
Au quartier la Faïence dans la commune de Bourouba, l’insalubrité est saisissante particulièrement aux abords du chemin de fer.