Les prix des denrées alimentaires dans le monde sont restés globalement inchangés en juin, la baisse des cours des céréales étant compensée par un regain sur les marchés des huiles végétales, du beurre et du sucre. C’est ce qu’indique la note mensuelle de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) publiée hier.
L’objectif de ce projet, initié dans le cadre du programme de la Fondation Mattei Afrique et qui s’étale de 2024 à 2028, est de fournir à l’Algérie une chaîne agroalimentaire complète, de l’approvisionnement en semences à la production industrielle dérivée des cultures (céréales et légumes secs notamment), y compris la fabrication de pâtes.
Le représentant de la Banque mondiale a fait état des potentialités dont regorge l’Algérie, et sur lesquelles, a-t-il ajouté, «un partenariat dynamique pourrait s’inscrire pour encore mieux transformer le pays rapidement et se lancer dans une dynamique extrêmement positive qui permettrait aux Algériennes et aux Algériens d’accélérer leur prospérité».
Les distorsions et les disparités sont criantes en matière de déploiement du tissu industriel en Algérie. Les chiffres dévoilés, lundi, par le directeur de la veille stratégique au ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Bachir Kechroud, le montrent clairement.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a mis à maintes reprises en avant la question du mode de gouvernance des banques publiques. En février dernier, il a souligné la nécessité de repenser cette gouvernance «conformément aux résultats de l’opération d’évaluation entreprise dans ce sens».
La guerre a causé une dévastation sans précédent au marché du travail palestinien et à l’économie en général. C’est la principale conclusion des dernières données et analyses de l’Organisation internationale du Travail (OIT) et du Bureau central palestinien des statistiques (BCPS) publiées ce 7 juin.
La banque prévoit plus de 1,9 Mds de dinars comme réserves légales. Un montant auquel s’ajoutent 11,1 Mds de dinars pour les réserves facultatives comme indiqué dans le projet de résolution à soumettre à l’AG le 27 juin.
L’indice FAO des prix des produits alimentaires s’est établi en moyenne à 120,4 points en mai 2024, soit 1,1 point (0,9%) de plus que son niveau révisé du mois d’avril. C’est ce qu’indique l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans son bulletin mensuel (mai 2024) publié hier.
D’après les données de la Banque de France, le stock d’IDE français en Algérie s’élevait en 2022 à 2,4 milliards d’euros, plaçant la France en troisième place des investisseurs en Algérie derrière les Etats-Unis et l’Italie.
La Commission d’organisation et de surveillance des opérations de Bourse (Cosob) a reçu trois demandes d’introduction en Bourse de la part de PME activant dans l’industrie. C’est ce qu’a annoncé hier le président de la Cosob, Youcef Bouzenada, en marge de la signature de la convention avec l’Autorité gouvernementale de certification électronique (AGCE) portant numérisation des ordres de Bourse.
En donnant l’occasion à Naâma et à d’autres régions du Sud et des Hauts-Plateaux de contribuer à l’essor des filières stratégiques via la prise en charge des principales préoccupations, le gouvernement, comme l’a précisé le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, cherche à «corriger les disparités régionales» en matière de développement.
Les assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) ont pris fin hier, après cinq jours de débats et de discussions entre les représentants des pays africains sur las situation économique du continent et sur les défis à relever face aux chocs et aux crises géopolitiques actuels. Des défis qui sont surtout d’ordre structurel.
Il est impossible de gérer un groupe de 25 entreprises, dont chacune compte de 5 à 6 usines, par un seul PDG.» La déclaration émane du ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, lors de son passage, le 27 avril dernier, au forum de la Chaîne 1 de la Radio nationale.
Le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread) et l’université d’Adrar ont organisé, hier, à l’Institut national de vulgarisation agricole, un séminaire sur les perspectives de gestion des eaux souterraines dans le Sahara.
En prévision de la saison estivale marquée par une forte demande en énergie électrique, le groupe Sonelgaz a arrêté une série de mesures. Objectif : éviter les coupures et les délestages. Pour y parvenir, Sonelgaz n’a pas lésiné sur les moyens.
Selon la BAD, «la configuration actuelle de l’architecture financière mondiale n’est pas adaptée aux besoins de financement du développement durable et aux réponses nécessaires aux chocs». D’où la nécessité d’amorcer une réforme de fond.
Finabi rappelle que l’outil du capital investissement est apparu en Algérie en 1991 avec la création de la Finalep et depuis la loi de 2006, quatre autres sociétés ont été agréées : El Djazair, Estithmar, Icosia, le Fonds des start-up et le Fonds des PME (joint-venture entre la BEA et la BNA créée en 2021).
Le ministre de l’Energie et des Mines a fait valoir la place de l’exploration offshore des hydrocarbures dans les programmes publics pour le développement des secteurs minier, pétrolier et gazier précisant que «des études sont en cours pour déterminer les meilleures techniques d’exploration».
La faiblesse des rendements céréaliers avec 1,65 tonne par hectare, le taux élevé des enfants souffrant de malnutrition (30%) et la dépendance de l’Afrique en importations d’engrais à hauteur de 60% sont autant d’éléments qui illustrent l’urgence des dossiers à prendre en charge par pays et à l’échelle continentale. Des dossiers qui portent sur la gestion des terres, la disponibilité des ressources en eau et des moyens donc des attentes des petits agriculteurs. C’est sur ces points que repose la question alimentaire en Afrique.
La partie coréenne, qui a déjà travaillé sur deux autres projets (culture du blé d’orge adaptée à l’Algérie et production de patate douce), affiche son engagement pour la poursuite du programme. Mais, la décision revient au ministère de l’Agriculture et du Développement rural.