L’auteur Abdurrahman Benatia gratifie ses lecteurs d’une nouvelle publication à compte d’auteur intitulé Les trois Révolutions-sœurs du 20e siècle.
La baie d’Alger dans toute sa splendeur et sa poésie se donne à voir grâce à l’architecte plasticien et galeriste algérien Farid Benyaa et ce, jusqu’au 25 juillet prochain à Alger.
L’ambassade du Vietnam fait une petite escale de trois jours, au centre commercial de Bab Ezzouar d’Alger pour célébrer le 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques vietnamo-algériennes.
Le luthier algérien Farid Taleb a représenté, dernièrement, l’Algérie au 1er Festival international de la guitare Show à Montreux en Suisse.
Une réception en l’honneur de Sofia Tabani, lauréate de l’édition 2021 du concours de dessin pour enfants Este es mi Mexico, a été donnée, jeudi soir, par l’ambassadeur du Mexique Gabriel Rosenzweig et de son épouse Mme Laura O’Dogherty, au niveau de la résidence du Mexique à Alger.
Yasmina Sellam a présenté, samedi dernier, son ouvrage intitulé Mémoire culinaire de l’Algérie, histoire de recettes à la librairie l’Arbre à dire à Alger.
La première édition du Sahara Fashion Show se déroulera du 16 au 17 mai à l’hôtel Bladi Palace à Taghit dans la wilaya de Béchar. Placé sous le patronage du ministère de la Culture et des Arts, la première édition de Sahara Fashion Whow est unique en son genre.
Le romancier algérien Yasmina Khadra s’est livré en toute transparence, dernièrement, via une rencontre digitale au Hope Buds Club, créé par les étudiants en écologie de l’université de Bab Ezzouar à Alger.
Après plusieurs publications dans des domaines variés, Mostéfa Khiati présente dans Génocides coloniaux, publié en mars dernier, aux éditions Anep, une recherche assez fouillée sur l’extermination physique et intentionnelle de milliers d’Algériens suite aux enfumades, emmurements et gazage de grottes lors de la lutte de libération nationale. Ainsi, avec ses deux précédentes publications Les exactions coloniales en Algérie et Les irradiés algériens, un crime d’Etat, l’auteur tend à parfaire une trilogie mémorielle de référence.
Le musicien et leader du groupe Ifrikiya Spirit, Chakib Bouzidi, est décédé le 26 avril suite à une longue maladie.
Dans le cadre de la Journée internationale du jazz, les musiciens du projet Bahja animeront un concert, le 28 avril à 21h 30, à la salle Ibn Zeydoun à Alger.
Le plasticien algérien Hamza Bounoua participera du 24 au 30 avril aux journées «Al Riwaq Art Days», en Jordanie.
L’auteure Yamina Miri-Aït Abdelmalek revient sur ce qui a inspiré et motivé son récit de voyage intitulé Six jours sur le plateau du Tassili N’Ajjer, publié aux éditions algériennes El Ibriz. Un livre qui est sorti en mars dernier, à l’occasion de la tenue du 25e du Salon international du livre d’Alger. Entretien
C’est parce que les activités culturelles et artistiques ont repris de plus belles après une léthargie de deux ans, due à la pandémie Covid-19 que la boîte événementielle Oxygen Prod Management a programmé une tournée nationale pour deux artistes algériens d’exception.
Riadh Dahmani est un photographe autodidacte algérien qui s’est spécialisé dans la photographie d’art.
L’auteur Mahfoud Aoufi a signé aux éditions ANEP son premier ouvrage intitulé « Indépendance et souveraineté financière, Algérie 1962 ». Rencontré, dernièrement à l’occasion du 25e Salon international du livre d’Alger, cet ancien responsable financier du GPRA Ouest et ancien trésorier général de l’Algérie évoque dans cet entretien, notamment les problèmes rencontrés par les cadres algériens au lendemain de l’indépendance de l’Algérie pour prendre la succession du trésor français afin d’asseoir une souveraineté financière de l’Algérie.
La romancière et traductrice Amel Bouchareb est une jeune brillante plume. Rencontrée,dernièrement, lors de la tenue du 25e Salon international du livre d’Alger, elle revient entre autres sur la traduction en langue italienne de son premier roman Sakarat Nedjma et sur le lien qui la relie à ses lecteurs.
Diplômée en traduction à l’université d’Alger, la romancière a évoqué sa trilogie Sakarat Nedjma, composée de Fi el badê kanat al-kalima et Thabet edholma. Elle indique que sa trilogie traite des questions qui sont en relation directe avec la vie des Algériens et de la culture populaire, faisant partie du legs anthropologique. Elle est convaincue que chaque auteur qui ne s’appuie pas sur la culture populaire s’éloigne de ses lecteurs. «La littérature n’est pas une expression exclusive pour les élites, elle doit savoir exprimer les obsessions et les préoccupations communes.
Le commissaire de Salon international du livre d’Alger (SILA), Mohamed Iguerb, a animé, hier matin, une conférence, en compagnie d’Antonia Grande, directrice de l’Institut italien à Alger, à la Safex des Pins maritimes, pour donner un premier bilan exhaustif de ce 25e Sila.
La salle du Sila a reçu, lundi après-midi, les écrivains Amin Zaoui et Lounis Ben Ali, pour une rencontre, autour de la thématique «Le roman, plaisir d’écriture ou désir éditorial ?».