Après l’inauguration en grandes pompes au début du mois de juillet dernier du projet d’acheminement vers Béchar et sa périphérie de l’eau potable à partir de Boussir (commune située à 180 km au nord du chef-lieu de la wilaya) et les essais concluants qui ont suivi l’inauguration, la population pensait que son cauchemar de la pénurie d’eau appartenait désormais au passé.
Un éleveur originaire de la wilaya d’El Bayadh transportant dans son camion un cheptel composé d’une cinquantaine de béliers et qui avait choisi pour les vendre les marchés aux bestiaux de Béchar, mais arrivé sur les lieux, il a été victime d’une arnaque qui lui a été tendue par une bande de malfrats spécialisée dans le vol de cheptel. Cela a eu lieu à l’approche de l’Aïd El Adha.
Le promoteur d’un projet de construction d’une école d’information d’une superficie de 4000 m2 n’a pu justifier le détournement de la vocation initiale du terrain qui lui a été octroyé dans le cadre du Calpi. Le promoteur en question en a édifié à la place de l’école informatique des magasins de location avec accaparement d’une extension illégale.
Les autorités militaires de la santé ont tenu cette fois à associer la presse locale aux journées d’information et d’explications sur le fonctionnement et l’évolution des services de la santé militaire qui connaissent un essor en matière de renforcement des équipements et des capacités d’intervention pour faire face aux besoins du secteur dans une région frontalière sensible.
Un ressortissant algérien du nom de Benzarga Mohamed installé en Mauritanie depuis plusieurs années est actuellement bloqué dans ce pays et ne peut plus rejoindre le pays natal après des péripéties malheureuses qu’il aurait subies.
Un véritable régal pour ceux qui ont assisté jeudi dernier à la conférence donnée à la Bibliothèque de la wilaya de Béchar par le sociologue et professeur à l’Université d’Oran Rabeh Sebaâ sur son roman Fahla.
Le transport ferroviaire entre Béchar et Oran est suspendu depuis plusieurs jours. La voie ferrée a été ensevelie par des violents vents de sable qui ont soufflé au cours des dernières semaines au sud-ouest et dans la région de Nâama en plusieurs points.
Plusieurs stands ont été installés dans la commune de Béchar dans le but de couvrir en ce mois de ramadan à des prix modérés les besoins essentiels des ménagères en butte à des difficultés d’approvisionnement en matière de denrées alimentaires trop chères.
Depuis plusieurs semaines, un bras de fer est engagé entre les membres de la nouvelle assemblée de wilaya et son président.
La disette culturelle et littéraire que traverse la région de Béchar depuis plusieurs mois vient d’être brisée par la récente publication d’un roman intitulé Du Mektoub à la destinée, écrit par Abdelkader Tiouti natif de Béchar.
Aussi paradoxale que cela puisse paraître, plusieurs dizaines de camions des éleveurs des régions agropastorales de Djelfa, d’El Bayadh et de Naâma, se dirigent ces derniers jours vers le grand sud en transitant par Béchar.
Depuis le début du mois de Ramadhan, l’on assiste au centre de la ville de Béchar au spectacle des chaînes d’attente pour se procurer un sachet de lait, situation que l’on croyait à jamais révolue, surtout depuis l’entrée en service de deux unités de production de lait subventionné.
Les associations et clubs sportifs de la wilaya au nombre d’une soixantaine viennent de bénéficier d’une aide financière de 10 millions de dinars, a-t-on appris récemment.
Malgré l’amputation de 10 communes à la suite du dernier découpage administratif, la wilaya de Béchar continue de faire face à une augmentation du nombre de familles nécessiteuses. Selon les services de l’action sociale, elles sont, cette année, 12.417 famille inscrites et éligibles à la solidarité.
Le premier hameau dit Safsaf composé de 50 familles isolé et situé à mi-chemin entre Béchar et Béni Ounif, vient de bénéficier d’une opération de distribution d’un lot de bêtes de race cameline dans le but, dit-on, de sédentariser ses éleveurs.
Le matériel roulant d’un investisseur privé à Béchar a été ciblé par un acte de destruction perpétré par une vingtaine d’individus qui ont ligoté deux agents de sécurité pour ensuite détruire par le feu en aspergeant à l’essence l’ensemble de l’équipement.
Des travaux de rénovation de la place de la République qui n’en finissent pas. Cette place a déjà «consommée» depuis une décennie des milliards de centimes. Son jet d’eau dégradé et restauré fait peau neuve. Il vient d’être ceinturé tout autour par une multitude de plantations d’arbres qui vont l’agrémenter au fur et à mesure de leur croissance.
Ils sont au nombre d’une vingtaine entre assaillants et commanditaires de la destruction et incendie du parc de loisirs et distraction en chantier, à être présentés avant-hier devant le magistrat instructeur près le tribunal de Béchar.
Un appel a été récemment lancé par la Conservation des forêts de Béchar pour l’insertion du site du barrage de Djorf Ettorba (70 km aux confins de la frontière algéro-marocaine) dans le groupe des pays signataires de la convention de Ramsar (Iran) en 1971 portant sur les zones humides et leur développement.
Le nouveau parc industriel permettra à la wilaya de Béchar de se doter d’une véritable zone d’activité à même de créer de la richesse et des postes d’emploi.