Le constat est là, prouvant que les bonnes volontés ne suffisent pas pour régler ce problème chronique en quelques rotations de bennes tasseuses à travers la ville.
A quelques jours des épreuves du Brevet de l’enseignement moyen (BEM) et du baccalauréat de l’année 2024, les instances de la justice à Guelma ont brandi «l’épée de Damoclès» à tous ceux et celles qui auraient la mauvaise idée de frauder aux examens.
La dernière journée du colloque international traitant le thème des massacres du 8 Mai 1945 en Algérie, tenu jeudi dernier, à l’université de Guelma, qui a organisé cette manifestation du 7 au 9 mai, n’a pas manqué de faire réagir les nombreux présents parmi les étudiants et les invités.
L’ouverture du colloque international sur les massacres du 8 Mai 1945, organisé par l’université de Guelma a eu lieu hier matin à la salle des conférences Sassi Benhamla de ladite université en présence de nombreux invités de rang universitaire, nationaux et étrangers, chercheurs, historiens, et étudiants.
Le projet concerne la réalisation d’une piscine semi-olympique à l’air libre dans un délai contractuel de 12 mois.
La réintégration des détenus dans la société est une responsabilité qui incombe à tous. Tel est le message essentiel qu’ont voulu transmettre les organisateurs du premier colloque national sur la santé mentale en milieu carcéral et l’accompagnement des personnes mises en liberté pour leur éviter la récidive.
Une foule de citoyens de la wilaya de Guelma a été remarquée devant les portes de la Direction de la réglementation et des affaires générales (DRAG) dont l’administration se trouve au siège de la wilaya, avenue Azzedine Ziania, pour déposer leurs demandes d’autorisation d’acquisition d’armes auprès de cette direction, relevant du ministère de l’Intérieur et des collectivités locales.
L’université 8 Mai 1945 de Guelma ne déroge pas à sa tradition en organisant comme chaque année un colloque, qu’il soit national ou international, dédié aux commémorations des massacres perpétrés par l’armée coloniale française un tristement célèbre 8 mai 1945 à Sétif, Kherrata et Guelma.
La direction de la culture et des arts de la wilaya de Guelma est défaillante. La commission de l’APW, chargée de ce secteur, a, dans un rapport audiovisuel, rapporté, jeudi dernier, lors de la première session ordinaire de l’assemblée, tous les manquements aux règles élémentaires de la mise en valeur des monuments historiques et des sites antiques mis sous la responsabilité de cette direction, de par la réglementation.
Une formation pour les observateurs (superviseurs) des wilayas de Constantine, El Tarf, Annaba, Souk Ahras, Tébessa, Oum El Bouaghi et Guelma, relevant du secteur de l’agriculture se déroule depuis lundi 22 avril à l’Institut technologique moyen agricole spécialisé en production animale de Guelma (ITMAS), sur trois jours, dans le cadre des préparations au recensement général agricole (RGA) pour l’année 2024 initiées par les hautes autorités de l’Etat pour «instaurer et assumer un développement durable dans ce secteur névralgique».
Chaque vendredi, les déchets s’accumulent dans les rues et avenues de Guelma et parfois même au-delà du week-end. Les raisons de cette situation lamentable incombent inéluctablement au service chargé de l’enlèvement des ordures ménagères de la mairie de Guelma et plus que jamais à l’incivilité des habitants qui s’ingénient à créer des dépotoirs sauvages en plein centre de l’agglomération.
La wilaya de Guelma est à présenter lorsqu’il s’agit de patrimoine matériel et immatériel tant cette région n’aura pas fini d’émerveiller ses visiteurs. Mais, contre toute attente, les pouvoirs publics n’ont pas mis en valeur ni même fait connaître ce trésor à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine, dont l’ouverture n’a pas manqué de faire rougir de honte, jeudi dernier.
Agissant sur la base de renseignements avérés, les éléments de la brigade de lutte contre le trafic des stupéfiants, relevant de la sûreté de wilaya d’Oum El Bouaghi ont réussi à mettre hors d’état de nuire un dealer à la cité El Saâda dans la commune du chef-lieu.
Le mois du ramadan a été pour beaucoup d’habitants une occasion de flâneries nocturnes à Guelma. Mais, en dehors des rues commerçantes et autres cités du centre administratif de la ville où l’éclairage public a été renforcé, réhabilité, voire connu un embellissement, les quartiers populaires demeurent, eux, sous-éclairés et parfois même dans la pénombre.
La fourniture et la pose d’un poste transformateur électrique pour alimenter le théâtre régional Mahmoud Triki de la ville de Guelma fait l’objet depuis quelques jours d’une opposition au choix du terrain de la part de l’association de quartier Jugurtha qui, faudrait-il le souligner, a un droit de regard, conformément à la législation, en sa qualité de représentant de la société civile et de cet îlot d’habitation en particulier.
Agissant sur renseignements avérés, les agents de la BRI (brigade de recherche et d’intervention) relevant de la sûreté de la wilaya d’Oum El Bouaghi ont réussi, récemment, à démanteler un atelier clandestin de fabrication d’armes à feu traditionnelles et de munitions à Hanchir Toumghani, commune située à une quarantaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de wilaya.
La relance du projet de la gare routière de Guelma est enfin visible à la sortie nord de la ville, plus précisément sur la RN 21, axe routier menant vers Annaba. L’édifice s’est paré d’un habillage en alucobond très en vogue de nos jours et qui n’est autre qu’un concept de panneaux en aluminium pratiquement incombustibles. Délimitée par une clôture en fer forgé avec accès, le taux d’avancement du projet aurait dépassé les 75 % pour cette gare routière de type A.
Onze années de chantier et ce n’est pas fini au nouveau silo à grains de la Coopérative des céréales et des légumes secs (CCLS) de la commune de Belkheir, dans la wilaya de Guelma. Telle est la situation, à quelques semaines du lancement de la campagne moisson-battage qui mobilise l’OAIC (l’Office algérien interprofessionnel des céréales) puisque c’est cet office qui est le maître de l’ouvrage.
Le projet du nouveau pavillon des urgences médicochirurgicales de l’établissement public hospitalier (EPH) Hakim Okbi de la ville de Guelma est prêt à être réceptionné. Jeudi dernier, une équipe s’attelait à installer les écrans d’affichage dans le hall du pavillon flambant neuf. Même le registre des doléances n’a pas été oublié au comptoir du bureau de réception et d’information, avons-nous constaté sur place.
Un grave accident de la circulation routière survenu, hier, à Bouati Mahmoud, commune située à 20 km au nord-ouest de Guelma, a causé des blessures à douze personnes.