La Fédération algérienne de football (FAF) est confrontée à un sérieux problème statutaire pour la tenue des assemblées générales conformément au calendrier de décisions au nom de la FAF arrêté par le président et le Bureau fédéral qui, légalement, ne peuvent plus se prononcer ni prendre de décisions au nom de la FAF.
La Fédération algérienne de football (FAF) est dans une situation inconfortable, c’est le moins que l’on puisse dire, après les événements survenus au lendemain de l’élimination de l’équipe nationale de la Coupe du monde de la FIFA Qatar 2022.
Le président de la Fédération algérienne de football (FAF) présidera l’Union nord-africaine de football (UNAF) au cours des deux prochaines années, conformément aux principes de la présidence tournante.
Le Bureau fédéral, ou ce qu’il en reste, agit dans l’illégalité la plus absolue, au vu et au su du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS), le premier garant du respect des lois qui régissent le sport en Algérie.
La Fédération algérienne de football (FAF) a rompu le silence sur tout ce qui était dit, écrit et rapporté au sujet de la réclamation qu’elle a introduite auprès de la FIFA dès le lendemain de la rencontre Algérie - Cameroun (29 mars 2022) comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde de la FIFA Qatar 2022.
La fin du Bureau fédéral présidé par Charaf Eddine Amara, suite à une cascade de démissions, crée une situation nouvelle et engendre un vide important au niveau de l’organe qui oriente et contrôle la politique de la Fédération algérienne de football (FAF).
La vidéo assistance referee (VAR) sera-t-elle utilisée lors du derby algérois MC Alger-USMAlger, dimanche à 19h au stade du 5 Juillet ?
Le choix du stade de Casablanca (Maroc) pour abriter la finale sèche, sur un match, de la Ligue des champions 2021-2022, a suscité beaucoup de commentaires défavorables à la décision du Comex de la Confédération africaine de football (CAF).
La domiciliation, par la CAF, de la finale de la Ligue des champions d’Afrique 2021-2022 à Casablanca (Maroc) a été suivie d’une salve de critiques. Des observateurs ont fait remarquer, à juste titre, que ce grand rendez-vous continental ne devrait pas avoir lieu dans un pays dont une ou deux équipes figurent dans le dernier carré de la compétition (demi-finale).
Des cercles et voix se prévalant d’une proximité avec des centres de décisions au sein de la Fédération algérienne de football (FAF) s’agitent en coulisses et propagent des fake-news au sujet des actions que mène la FAF en direction de l’instance faitière du football mondial (FIFA) en ce qui concerne le dossier de réclamations envoyé à Zurich.
Le football algérien reconquerra-t-il un jour sa place perdue au sein du comité exécutif (Comex) de la Confédération africaine de football (CAF) ? Peut-être, mais pas de sitôt. Pour l’instant, les signaux ne sont pas bons. Pis encore, il n’y a rien à l’horizon 2023, année où le Libyen Chelmani remettra en jeu son poste au sein du Comex comme représentant de la zone UNAF (Maghreb).
Les nouveaux statuts de la Fédération algérienne de football (FAF) tardent à être validés. Pourtant, tout semblait être en ordre le 29 juin 2021 lorsque la FAF a annoncé sur son site officiel que «les nouveaux statuts de la FAF sont prêts. La FAF et la FIFA les ont finalisés».
La situation du bureau fédéral induite par la démission de deux membres, Rachid Gasmi et Larbi Oumamar, place l’organe dans une situation inconfortable.
L’équipe égyptienne du Ahly du Caire sera dans nos murs aujourd’hui en prévision du match retour de la demi-finale de la Ligue des champions contre l’ES Sétif (samedi prochain).
Le Bureau fédéral élu sous la bannière du président de liste, Charaf Eddine Amara, le 15 avril 2021, a fini par imploser, une année, presque jour pour jour, après son élection. Hier, il a enregistré la 6e démission du contingent formé de 12 membres, sans le président.
Des cercles et voix se prévalant d’une proximité avec des centres de décisions au sein de la Fédération algérienne de football (FAF) s’agitent en coulisses et propagent des fake-news au sujet des actions que mène la FAF en direction de l’instance faitière du football mondial (FIFA) en ce qui concerne le dossier de réclamations envoyé à Zurich.
La réponse de la FIFA à la requête de la FAF contre l’arbitrage du gambien Bakary Gassama est arrivée vendredi tard dans la soirée. Sans surprise, elle a informé la FAF qu’elle ne donnera pas suite aux réserves formulées contre l’arbitre directeur de la rencontre Algérie-Cameroun (1-2) disputée le 29 mars dernier à Blida. Vendredi avant minuit, la fédération a publié une partie seulement de la correspondance que lui a adressée la FIFA.
Le feuilleton Bakary Gassama n’est pas près de s’achever. Chaque jour qui passe apporte son lot d’informations et de surprises. Un ex-arbitre algérien, requérant l’anonymat, s’interroge sur «le rôle qu’auraient pu jouer le directeur de l’arbitrage de la CAF, le Seychellois Eddy Maillet, et le Mauricien Lim Kee Chong, instructeur CAF et FIFA dans le choix et la désignation de l’arbitre gambien Bakary Gassama pour diriger le match retour Algérie-Cameroun, le 29 mars 2022».
Les membres de la Fédération algérienne de football (FAF) et plus particulièrement ceux du Bureau fédéral (BF) ont-ils, un jour, consulté les statuts de FAF ? Pas sûr.
En prévision du CHAN que l’Algérie organisera en 2023, la Fédération algérienne de football (FAF) va organiser un tournoi qui regroupera les équipes du Mali, de la RD Congo, du Sénégal et de l’Algérie en mai et juin prochain. Les matchs se dérouleront à Sig et Oran.