L’Équipe nationale a raté son entrée en matière à la CAN 2024 contre l’Angola (1-1). Le résulat et la manière ont suscité un flot de commentaires (négatifs). Ils ont réveillé les démons de la CAN-2022 lorsque les Verts ont été incapables de battre la Sierra Léone. La suite, tout le monde la connaît.
L’Équipe nationale peut-elle vivre sans Ryad Mahrez ? La question est de brûlante actualité, après les dernières sorties des Verts durant lesquelles le capitaine d’équipe n’a eu aucune influence dans le jeu. Sa prestation face à l’Angola a été vivement critiquée. Une évidence que personne ne peut nier.
Le sélectionneur algérien de la Tanzanie, Adel Amrouche, a été lynché par des médias marocains pour avoir déclaré que «le Maroc décide où il doit jouer, choisi l’horaire des matchs et bien d’autres choses sur lesquelles je ne veux pas m’étaler pour l’instant».
L'Equipe nationale n'a pas bien négocié ses débuts à la CAN. Elle a longtemps mené au score et donné l'impression qu'elle allait battre facilement l'Angola, avant d'être rejointe au score en seconde mi- temps.
De plus en plus de voix stigmatisent la conduite et le comportement de certains supporters, et pas que, algériens présents en Côte d’Ivoire pour vivre la CAN-2023 et supporter les Verts. Sans aucun respect pour les citoyens et l’histoire de ce pays, ils critiquent à tout-va le pays hôte, les conditions de vie des citoyens ivoiriens, l’état général des villes, tournent en dérision tout ce qui se trouve autour d’eux.
L’Algérie aborde son premier match à la CAN-2023, contre l’Angola, avec l’ambition affichée de récolter les trois points. Djamel Belmadi et les joueurs savent combien est important le résultat du premier match.
Le président de la Confédération africaine de football (CAF), Patrice Motsepe, a affiché sa satisfaction pour tout ce qu’a réalisé la Côte d‘Ivoire pour que tout soit prêt pour que la CAN 2023, décalée à 2024, soit un succès. Le président ivoirien, Alassane Ouattara, en première ligne en tribune présidentielle, a apprécié les propos du Sud-Africain.
Les Verts se sont dejà projetés sur le match contre l’Angola, prévu lundi 15 janvier à Bouaké. L’heure de vérité a sonné pour les 24 équipes du tournoi. Bien sûr, chacune a ses ambitions qui ne sont pas les mêmes.
L’Algérie se souviendra longtemps de la CAN 1988 au Maroc. Pour deux choses. La première, la (mauvaise) qualité de la préparation et les difficultés rencontrées par le coach russe Rogov qui a pris ses fonctions en automne 1986 et qui n’est pas arrivé à trouver l’équipe-type, deux ans plus tard, au Maroc.
La 12e journée de la Ligue 1, entamée mercredi par le match USM Alger-JS Saoura (1-1), poursuivie jeudi par MC Oran-CS Constantine (1-4) et vendredi par Paradou AC- NC Magra (0-0), s’est prolongée hier, samedi par 4 rendez-vous (USMK-USS, USB-MCEB, JSK- ASO et ESS-ESBA) qui signe le retour de l’équipe d’El Bayadh, après 3 semaines de repos, suite au terrible accident de circulation qui a coûté la vie à deux membres du club, le gardien Bouziani et l’entraîneur des gardiens Meftah).
Pendant un mois, à partir d’aujourd’hui, le pouls du continent va battre au rythme de la CAN-2024 qu’organise la Côte d’Ivoire, pour la seconde fois après celle de 1984 qui avait refroupé 8 sélections. 40 ans après, ce sont pas moins de 24 équipes nationales qui se disputeront le trophée.
Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, se trouve à Abidjan depuis hier (vendredi), pour assister, ce soir, au match d’ouverture de la CAN-2024 qui mettra aux prises la Côte d’Ivoire avec la Guinée-Bissau (Groupe A).
Le Mouloudia d’Oran file à une vitesse grand V vers la Ligue 2. Le cauchemar vécu la saison dernière ne semble pas avoir servi à grand-chose.
Les Verts se trouvent à Bouaké depuis hier. Au lendemain du second match test livré et gagné ( 4-0 ) et de la fin du stage de 10 jours à Lomé, la délégation s’est envolée pour la Côte d’Ivoire où elle participera à la 34e édition de CAN que le pays de Didier Drogba organise du 13 janvuer au 11 février 2024.
Des dirigeants du football africain ne veulent pas s’émanciper de la domination quasi-absolue des clubs, ligues et fédérations européennes qui, dès qu’arrive la Coupe d’Afrique des nations (CAN), compétition reine de la Confédération africaine de football (CAF), mettent la pression sur des joueurs et fédérations africaines pour qu’ils gardent leurs joueurs-employés africains lorsque la CAN arrive.
Il y a quelques jours, la Confédération africaine de football (CAF) a annoncé la majoration des primes de participation et de succès (classement) aux sélections qui participeront à la CAN-2024 en Côte d’Ivoire. L’annonce a surpris plus d’un. En effet, l’instance faitière du football continental avait indiqué, après le départ de l’ancien président Ahmad Ahmad, que les comptes n’étaient pas florissants, qu’ils frôlaient le déficit.
Les Verts disputeront aujourd’hui (16h), à Lomé, leur ultime match de préparation, contre le Burundi, avant le premier match à la CAN-2024 face à l’Angola, le 15 janvier à 20 heures à Bouaké. Il y a 40 ans, les Verts, qui étaient versés dans groupe B de la CAN-1984 organisée par la Côte d’Ivoire, avaient ouvert leur parcours par une eclatante victoire (3-0) contre le Malawi.
Franz Beckenbauer s'est éteint dans la nuit de dimanche à lundi en Autriche, où il réside depuis longtemps. Il avait 78 ans. Il était malade et son état de santé s'est détérioré au cours des derniers mois, comme l'a révélé son frère sur les colonnes de la presse allemande. Il est né en 1946.
Abdelhamid Sadmi garde un souvenir inoubliable de la CAN 1984 en Côte d’Ivoire. Il avait tout juste 21 ans lorsque le sélectionneur Mahieddine Khalef l’a retenu dans la liste des joueurs pour disputer la CAN 1984 en Côte d’Ivoire.
1968-2024, 56 ans séparent les deux dates. 1968, c’est l’année où l’Equipe nationale a pris part à sa toute première participation à la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations ( CAN ), la 6e de rang. Une belle occasion à la veille du début de la 34e édition, qu’accueille la Côte d’Ivore (13 janvier- 11 février 2024), pour remonter le temps et s’intéresser à ce que sont devenus les joueurs algériens qui ont participé à la CAN-1968 en Ethiopie. C’est parti.