Toutes les procédures de la première étape se poursuivront à l’étape 2, tant que les négociations sur l’accord est en fait celui proposé par le président Biden à la fin du mois de mai 2024, accepté par Israël, entériné par le Conseil de sécurité, avant qu’il ne soit rejeté par le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu.
Toutes les procédures de la première étape se poursuivront à l’étape 2, tant que les négociations sur l’accord est en fait celui proposé par le président Biden à la fin du mois de mai 2024, accepté par Israël, entériné par le Conseil de sécurité, avant qu’il ne soit rejeté par le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu.
Il prévoit trois étapes sur l’échange d’otages et de prisonniers et le rétablissement d’un calme durable. Durant la première étape de 42 jours, l’accord prévoit lasuspension temporaire des opérations militaires mutuelles entre les deux parties et le retrait des forces israéliennes vers l’Est, mais des zones densément peuplées vers le long de la frontière de l’enclave, y compris de la vallée de Ghaza (corridor Netzarim et place du Koweït).
Il prévoit aussi la suspension temporaire de l’activité aérienne (à des fins militaires et de reconnaissance ) à Ghaza pour une durée de 10 heures par jour et de 12 heures durant les jours de libération des otages et des prisonniers palestiniens. Durant cette étape, les déplacés retourneront dans leurs zone de résidence en toute liberté, sans aucune entrave.
Au septième jour, après la libération de sept otages, l’armée israélienne se retirera totalement de la rue Al Rashid vers l’est, jusqu’à la rue Salah Al Din , et démantèlera complètement les sites et installations militaires mis en place dans zone, et les déplacés, désarmés, commenceront à retourner dans leurs habitations, sans être confrontés à des entraves à leur liberté de mouvement dans toutes les zones de l’enclave. En même temps, l’accord prévoit aussi l’entrée de l’aide humanitaire par la rue Al Rashid , dès le premier jour du cessez-le-feu, sans aucun obstacle .