La création de six nouvelles SDEM d’une capacité de 300 000 m3/jour vient d’être décidée par les hautes autorités du pays. Les travaux de leurs constructions seront entamés à partir de 2024. Leur mise en service est prévue théoriquement en 2030.
L’idée de l’introduction de l’Intelligence artificielle (IA) a jailli lors de l’une des journées d’étude, inscrite dans le programme de la célébration du mois du mois du patrimoine 2022, (18 avril -18 mai, ndlr), initiée par l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de la conservation et la restauration des biens culturels) à Tipasa.
L’Ecole nationale supérieure de la conservation et restauration des biens culturels (ENSCRBC) à Tipasa a organisé deux conférences le jeudi 12 mai à partir de 9h.
Onze harraga sont décédés et 5 autres portés disparus dans des circonstances qui demeurent toujours inconnues. Ils auraient lutté contre la furie de la mer pendant 14 heures, avant que leur embarcation ne fasse naufrage.
C’est un monument historique au passé incroyablement riche, se trouvant à 110 km de la capitale, Alger, qui est aujourd’hui livré au vandalisme, abandonné. Il n’y aucune plaque indicative pour cette ferme de Stigès érigée durant l’ère coloniale à la sortie ouest de la localité côtière de Messelmoune, wilaya de Tipasa.
Le ministre des Transports, Abdallah Moundji, a annoncé, jeudi à Alger, l’ouverture de la ligne de transport maritime Alger-Tipasa l’été prochain.
Le dernier samedi du mois de mars 2022 avait eu lieu à la grande salle de réunion du siège de l’APC de Hadjout un événement culturel et historique destiné d’abord à mieux connaître la tribu des Hadjoutes et ensuite à mettre en relief ses révoltes.
Des perturbations dans l’alimentation en eau potable vont être enregistrées du lundi 21 au jeudi 24 mars au niveau de plusieurs communes des wilayas d’Alger et de Tipaza en raison de travaux de maintenance sur les installations de la station de dessalement de Fouka (Tipaza).
Le wali de Tipasa, Aboubakr Esseddik Boucetta, semble avoir fait le pari de lever les entraves qui bloquent l’investissement et la production au niveau de sa wilaya. Les responsables des deux unités de production, l’une de médicaments et l’autre de biscuits, implantées à Oued Bellah, après avoir été reçus au bureau du chef de l’exécutif de la wilaya, ont été ainsi surpris de le voir débarquer chez eux de façon inopinée. Le but du wali de Tipasa était visiblement de s’enquérir personnellement de la situation de ces entreprises et de voir en quoi il pouvait les aider à s’épanouir. Ces deux usines sont opérationnelles depuis plus de deux décennies.
En recevant cinq investisseurs dans l’aquaculture le jeudi dernier (24/02/2022, ndlr), afin de leur remettre les décisions d’autorisation pour exercer leurs activités, le chef de l’exécutif de la wilaya s’est interrogé sur l’insignifiant nombre des opérateurs dans la filière du secteur des ressources halieutiques, qui avaient déposé leurs dossiers depuis 2017.
Dans la perspective d’une éventuelle tenue du sommet des pays de la ligue arabe à Alger, en ce premier trimestre 2022, déjà reporté officiellement à une date ultérieure, sans aucun doute, les responsables de la wilaya de Tipasa sont déjà harcelés par le gouvernement pour se préparer l’environnement culturel à cet important événement politique.
La création d’une zone d’activité dédiée à l’aquaculture s’est avérée un projet «mort-né». En effet, le gouvernement a mis en place un organisme public qui gère le foncier situé le long du domaine public maritime (DPM).
Le jeune artiste peintre, Benbouta Sid Ali, s’est illustré au sein de la maison de Culture Dr Ahmed Aroua de Koléa (Tipasa) par l’exposition d’une installation triptyque.
L’Etat, à travers ses deux ministères, en l’occurrence celui de la Culture et des Arts (MCA), d’une part, et, d’autre part, celui de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS), devra être sûr systématiquement d’assurer les bonnes conditions de travail, avec plus de sérénité aux chercheurs et fonctionnaires du Centre national de recherches archéologiques (CNRA), afin d’atteindre les objectifs définis dès la création en 2005 de cet établissement qui chevauche entre les deux institutions.
Les trois peines, allant de 4 à 5 ans de réclusion criminelle, retenues contre l’ancien wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, ont été allégées, pour être portées à des condamnations d’un an ferme, de 3 ans, dont 2 ans avec sursis, et 3 ans ferme. Les décisions ont été prononcées hier par la cour de Tipasa, dans le cadre de trois affaires liées aux biens immobiliers et fonciers accordés à l’ex-patron de la police, Abdelghani Hamel, et aux deux hommes d’affaires, Ali Haddad et Mahieddine Tahkout, pour lesquelles le procureur général avait requis une peine de 12 ans de prison ferme.