Ali Benouari, ancien ministre sous le gouvernement Ghozali dans les années 1990 et expert en finances, s’est singularisé ces dernières semaines par des sorties médiatiques pour le moins remarquées sur le très hermétique sujet des Brics qui continue de susciter en Algérie – quoiqu’on puisse dire - un intérêt grandissant.
A quelques jours de la tenue du très attendu sommet des BRICS, prévu du 22 au 24 août en Afrique du Sud, le monde assiste à une ruée vers cette alliance de puissances émergentes.
Pas moins de 67 pays ont été invités par Pretoria pour assister à l’ouverture et à certains événements du sommet du groupe des BRICS prévu du 22 au 24 août à Johannesburg. Les invitations ont été adressées aux pays d’Afrique et du «Sud global» ainsi qu’à une vingtaine d’organisations différentes.
L’Algérie tient à adhérer au groupe des BRICS et le montre. Les plus hautes autorités du pays ne cessent d’afficher un réel engouement pour rejoindre la liste des membres du groupe des BRICS. Ayant introduit une demande officielle, l’Algérie fait partie de nombreux autres pays qui aspirent à prendre part à ce groupement économique détenant 26% des parts de l’économie mondiale.
L’actuelle intensification de la coopération sino-algérienne intervient dans une conjoncture historique.