Le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté, mercredi 23 février, au 9 mars prochain, le procès des accusés dans l'affaire du groupe agroalimentaire "Benamor".
Le procès en appel du coordinateur du Mouvement démocratique et social (MDS), Fethi Ghares, est programmé pour le 1er mars prochain.
Poursuivi pour les délits d’«abus de fonction», «entrave au bon fonctionnement de la justice» et «incitation à la partialité», en lien avec des faits datant de 2016, l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, devait comparaître hier devant le pôle financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, avec son secrétaire général, Tayeb Belhachem (en liberté), et un des frères Kouninef, Tarek Noah, propriétaires du groupe KouGC, mais le procès a pour la troisième fois été ajourné d’une semaine, en raison de l’absence de Me Mahdjouba, avocat de l’ex-ministre, atteint de Covid-19, selon ses confrères. Le président a tenu à préciser à Louh qu’il s’agit «du dernier report» qui sera accordé.
Trente ans de prison ferme ont été requis hier contre l’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, accusé d’être le principal commanditaire de l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’Etat en 1987, rapporte l’AFP.
Le Pôle pénal économique et financier du Tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté lundi 7 février, au 21 février 2022, le procès de l'ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh et de l'homme d'affaire Kouninef ainsi que d'autres accusés, à la demande du collectif de défense.
Le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger) a décidé mercredi de reporter au 9 mars prochain le procès de l'ancien gendarme qui a fui en Espagne, Mohamed Abdallah.
Le Pôle pénal économique et financier du Tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a décidé, mercredi 19 janvier, de reporter au 26 janvier le procès des accusés dans l'affaire du groupe agroalimentaire "Benamor", et ce, à la demande des accusés en raison de la grève des avocats.
L’ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal s’est défendu, jeudi dernier, en affirmant avoir assumé «une fonction politique» et, de ce fait, il n’est ni un agent public ni un fonctionnaire pour être visé par la loi sur la corruption. Il qualifie les poursuites de «nulles et non avenues» et précise que la décision prise en tant que Premier ministre était politique et collégiale. Les deux anciens walis Mohamed Hattab et Abdelkader Zoukh ainsi que l’ex-ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, ont tous nié les faits qui leur sont reprochés.
La première semaine du mois de janvier s’annonce avec de gros dossiers liés aux groupes Amar Benamor, Metidji et Amenhyd, mais aussi celui de Sonatrach, communément appelé GNL3.