Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, dimanche, une réunion du Conseil des ministres consacrée à une série de lois portant notamment sur l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne. C’est lors de cette réunion que le Président a tenu à apporter des éclaircissements concernant la question liée à l’importation de pièces détachées de véhicules dont cette dernière a longtemps fait débat.
En l’absence de la pièce de rechange devant garantir la bonne gestion du parc automobile, de nombreux propriétaires de véhicules recourent à d’autres marchés étrangers de la pièce de rechange offrant la disponibilité, un choix diversifié et des prix accessibles.
Face aux défis de la réorganisation du marché de l’importation et de l’exportation, le parc automobile algérien se retrouve face à une situation des plus délicates, s’agissant de l’aspect entretien et changement de pièces des véhicules en circulation. Tous les processeurs de véhicules s’accordent à dire qu’entretenir sa voiture devient chose inaccessible. D’abord, de part la cherté de la pièce de rechange mais aussi sa rareté.