Connectivité intra-africaine limitée, coûts de voyage élevés, réglementations fragmentées, financement limité des aéronefs et infrastructures aéronautiques sous-développées, des obstacles et tant d’autres ayant, des décennies durant, limité le commerce, le tourisme ainsi que l'intégration économique et sociale du continent que le constructeur aéronautique américain Boeing œuvre à lever pour aider le secteur de l'aviation civile à s’épanouir et à prospérer.
Plus de deux ans après la ratification de l’accord de la zone de libre-échange africaine (Zlecaf), quelles retombées sur l’économie nationale et comment tirer profit de cette ouverture ? Ces questions ont fait objet de débats lors d’un séminaire sur les orientations stratégiques et les perspectives de mise en œuvre de cet accord.