On n’entend plus parler de l’adoption des nouveaux statuts de la Fédération algérienne de football (FAF). Les apôtres de cette revendication semblent l’avoir mise en sourdine. L’agitation qu’ils ont pratiquée pendant des années est à présent un lointain souvenir. Le bluff qui l’a soutendue s’est dégonflé comme un ballon de baudruche.
La Fédération algérienne de football (FAF) est rattrapée par les problèmes du professionnalisme et, plus particulièrement, le volet le plus sensible, celui des dettes ou créances des clubs pros vis-à-vis des joueurs et entraîneurs.
Le président de la fédération algérienne de football (FAF), Djahid Zefizef, est au centre d’une tempête et polémique dont ni l’intéressé, ni la fédération n’avaient besoin.