Entre autres solutions pour parer le spectre des robinets à sec, l’Algérie, tirant profit de sa côte balnéaire, qui s’étend sur une longueur de 1200 km, a opté pour l’aménagement de près d’une quarantaine de stations de dessalement.
Notre pays ambitionne d’ici à 2030 de couvrir à hauteur de 60% les besoins en eau potable à partir du dessalement de l’eau de mer.
La ressource en eau douce se tarit. En cause, des épisodes de sécheresse croissants couplés à une augmentation démographique. En guise de solution, Oran place de grands espoirs sur l’entrée en service de la station de dessalement d’eau de mer de Cap Blanc, attendue en 2024.