Selon le document exposé, hier, dans les locaux de l’Institution à Alger, les économistes en charge du dossier de l’Algérie ont mis en évidence les bonnes performances de l’économie de notre pays qui a enregistré une croissance de 3,9% au premier semestre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente, malgré la baisse de la production d’hydrocarbures.
Selon la Banque mondiale, la pauvreté et la vulnérabilité tiennent fondamentalement à l’exclusion du marché du travail dans la région MENA. Elle propose une «série de mesures pouvant être prises par les autorités publiques» pour accroître l’efficacité des systèmes de protection sociale et les rendre plus inclusifs.
Elu à la tête de la Banque mondiale un mois plus tôt, le nouveau patron de cette institution de Bretton Woods, Ajay Banga, devrait prendre ses fonctions le 2 juin prochain pour un mandat de cinq ans. Une première, le premier responsable de la BM, un Américain d’origine indienne, n’est ni économiste ni issu de l’administration.