Avec une population de 48 millions d’habitants et plus de 52 millions d’utilisateurs mobiles, l’Algérie affiche l’un des taux de pénétration mobile les plus élevés au monde.
Le déploiement des réseaux mobiles de cinquième génération (5G) est prévu durant le second semestre de l’année en cours (2025), selon Sid Ali Zerrouki, ministre de la Poste et des Télécommunications. Des études approfondies sont menées sur ce projet stratégique, couvrant tous les aspects techniques, financiers et success stories réglementaires.
Hacene Derrar a déjà occupé le poste de secrétaire général au ministère de la Numérisation et des Statistiques. Il est actuellement consultant en stratégie du numérique. Il nous donne ses éclairages sur l’impact de la 5G.
Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a annoncé, hier à Alger, le début des préparatifs pour le déploiement de la 5G en Algérie.
L’Algérie s’apprête à déployer la nouvelle norme de réseau de téléphonie mobile de cinquième génération, dite «5G». Ce projet, qui s’insère dans la stratégie gouvernementale globale de transformation numérique, a été présenté cette semaine devant le conseil du gouvernement.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé, hier, une réunion du gouvernement consacrée à l’examen de textes de loi et de communications relatives aux secteurs de la numérisation, de la jeunesse, de la santé et de l’agriculture, ont annoncé les services du Premier ministre dans un communiqué.
L’Algérie se prépare activement au déploiement de la nouvelle norme du réseau de téléphonie mobile de cinquième génération dite «5G».
Le groupe de télécommunication qatari, Ooredoo, envisage de lancer la technologie 5G sur ses marchés africains, notamment en Algérie et en Tunisie.
Les représentants de l’équipementier Ericsson ont souligné hier que le groupe suédois est fin prêt pour accompagner le lancement progressif de la 5G en Algérie, dès que les autorités concernées donneront le feu vert réglementaire à l’opération.
Le réseau 5G sera opérationnel dans 20 à 25 villes d’ici la fin de l’année, a annoncé le ministre indien des Télécommunications Ashwini Vaishnaw, notant que les prix resteront probablement moins chers que la moyenne mondiale puisque le coût des données mobiles en Inde est déjà «le plus bas du monde».