Sur les fronts libanais, syrien, irakien et yéménite, les organisations «mandataires» de l’Iran, comme les nomme Washington, se révèlent une sérieuse préoccupation militaire pour les Occidentaux, rangés derrière les plans de guerre israéliens, et un outil de pression redoutable pour Téhéran.
Le diplomate suédois de l'Union européenne, Johan Floderus, détenu en Iran, a été accusé en début de son procès de coopérer avec Israël contre la République islamique, ont rapporté des médias officiels dimanche.
Le réalisateur iranien Dariush Mehrjui, qui a joué un rôle clé dans la reconnaissance du cinéma iranien à l'échelle internationale, a été tragiquement assassiné avec son épouse à leur domicile près de Téhéran le soir du 14 octobre.
L’Iran espère que les discussions indirectes avec les Etats-Unis déboucheront prochainement sur un échange de prisonniers, a annoncé hier le porte-parole de la diplomatie iranienne.
L’Iran a appelé hier à une réunion «le plus tôt possible» en vue de rétablir l’accord sur le nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances, alors que les négociations à Vienne sont interrompues depuis le 11 mars.
La Russie a réclamé à Washington la garantie que les sanctions la visant à cause de l’Ukraine ne concerneront pas sa coopération avec l’Iran, avant de relancer l’accord sur le nucléaire iranien, a indiqué hier le chef de la diplomatie russe.
Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien, Ali Chamkhani, a appelé hier à «vérifier et établir des garanties» pour permettre la conclusion d’un «bon accord» à Vienne sur le nucléaire iranien. «Vérifier et établir des garanties fait partie intégrante d’un bon accord», a-t-il déclaré hier sur Twitter.
Les négociations sur le programme nucléaire civil de l’Iran, qui entrent dans leur dernière ligne droite, n’ont pas permis jusqu’à présent d’aboutir à des engagements équilibrés entre Washington et Téhéran, a estimé hier le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, cité par l’AFP.