On ne se lasse pas de voir – et revoir – sur la chaîne satellitaire Al Jazeera ces scènes incroyables de combattants palestiniens détruire d’imposants chars israéliens et éliminer des groupes entiers de soldats.
Une rencontre qui a permis à des universitaires d’évoquer la politique de la France visant à détruire les sites et monuments religieux algériens, à l’instar des mosquées et des zaouïas.
Filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, l’opération «Déluge d’Al Aqsa» a surpris le monde, mettant à mal l’armée d’occupation. Dès les premières attaques, les images de combattants palestiniens sur le sol israélien ont déferlé sur la Toile. Attentats aux explosifs, incursions armées contre des militaires israéliens, prise d’otages mais, aussi, une grande offensive par terre, mer et air, avec des parapentes.
«La révolution à Seguia El Hamra et Rio de Oro s'est déclenchée parce qu'il existe un peuple. Ce peuple possède son identité nationale, sa propre civilisation, ses propres principes, ses propres valeurs, sa propre organisation (...)».
C’est une autre distinction pour la littérature algérienne en général et son roman en particulier. La talentueuse écrivaine Kaouther Adimi vient de décrocher le prix Montluc Résistance et Liberté 2023 pour son roman Au vent mauvais, paru aux éditions du Seuil.
Conscient de la valeur et de l’importance de la terre pour le peuple palestinien et son attachement au droit de retour, à tout prix, l’occupant sioniste poursuit inéluctablement sa politique illégale d’implantation de colonies pour chasser les Palestiniens et imposer le fait accompli.
La femme palestinienne, dont la lutte contre les occupants britannique et sioniste a inspiré, depuis les années 1920, de nombreuses personnes éprises de liberté à travers le monde, a consenti d'énormes efforts sur l'autel de la liberté et du droit au retour et continue d'être l'un des symboles les plus importants de résilience et de résistance contre l'occupation, a indiqué la présidente de l'Union générale de la femme palestinienne (UGFP), section Algérie, Nesrine Mokdad.
La résistance des femmes, leur mobilisation et leurs engagements citoyens et pour la cause nationale ont une mémoire qui plonge ses racines au plus loin de l’histoire algérienne. Cette mémoire est le patrimoine et la référence de générations de femmes du temps présent et futur.
Désigné à la tête de la zone 2 (qui deviendra la wilaya 2 après le Congrès de la Soummam) à l’issue de la réunion des six historiques, Didouche Mourad avait joué avec son adjoint Zighoud Youcef un rôle important dans les premières attaques de la nuit du 1er Novembre 1954 dans tout le nord Constantinois.