Après les révélations accablantes de la Croix-Rouge internationale sur l’utilisation des Ghazaouis comme bouclier humain lors de ses opérations militaires à Ghaza, Israël est accusé par l’ONU d’utiliser «les violences sexuelles comme moyen de guerre» pour «dominer et détruire le peuple palestinien».
Affirmant leur solidarité avec les militants des droits de l'homme et résistants sahraouis qui luttent pour l'exercice du droit à l'autodétermination, les prisonniers sahraouis du groupe «Gdeim Izik» ont réitéré, dans une déclaration, leur appel à la communauté internationale pour «la protection du peuple sahraoui de l'oppression».
16 Palestiniens sont morts en détention depuis le 7 octobre en Cisjordanie, suite aux mauvais traitements qui leur ont été infligés dans les geôles israéliennes. Parmi eux, l’écrivain et militant Walid Daqqa, mort le 7 avril dernier, privé de soins. Il était détenu depuis 38 ans. 16 Palestiniens sont morts en détention depuis le 7 octobre en Cisjordanie, suite aux mauvais traitements qui leur ont été infligés dans les geôles israéliennes. Parmi eux, l’écrivain et militant Walid Daqqa, mort le 7 avril dernier, privé de soins. Il était détenu depuis 38 ans.
Le monde entier a vu les images de ces centaines de jeunes et moins jeunes Ghazaouis, fouillés, quasiment à nu sous la menace des armes, parqués sur des places publiques dans un chaos de décombres ou embarqués comme du vulgaire bétail dans des engins vers des destinations inconnues.
Selon des analystes politiques, il existe une idée répandue selon laquelle le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, persiste à faire durer l’agression contre Ghaza pour des motifs politiques personnels.
Les tractations se poursuivent pour tenter de prolonger l’accord de trêve qui en est à son dernier jour.
Une manifestation a été organisée cette semaine à Genève, devant le siège du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, afin d'exiger la libération de tous les prisonniers sahraouis injustement détenus dans les geôles de l'occupant marocain, a rapporté l'agence de presse sahraouie SPS.
Le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a appelé la communauté internationale à «assumer ses responsabilités juridiques envers les prisonniers palestiniens, en œuvrant à mettre fin à leur détention illégale».
Le gouvernement et les rebelles au Yémen ont libéré un nouveau groupe de détenus hier, au troisième et dernier jour d’un vaste échange de prisonniers, sur fond de pourparlers visant à mettre fin à plus de huit ans de guerre.
Plus de 300 prisonniers de guerre au Yémen ont été libérés vendredi au premier jour d'un vaste échange entre camps ennemis, a annoncé le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en pleines négociations sur une trêve dans le pays.
Un avion transportant des rebelles yéménites a quitté hier l’Arabie Saoudite pour Sanaa, aux mains des insurgés, tandis que des détenus saoudiens s’apprêtaient à rejoindre leur pays, au deuxième jour d’un vaste échange de prisonniers dans la guerre au Yémen.
Une vaste opération d’échange de prisonniers a débuté hier au Yémen entre le gouvernement et le mouvement Ansarullah dit «Houthi», a annoncé le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).