l L’autrice Lylia Nezar vient tout juste de publier son premier roman Les «Matriochkas, les héritières, aux éditions algériennes El Hibr l Rencontrée lors d’une vente-dédicace à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, l’autrice revient sur la thématique de son ouvrage à forte connotation polyphonique.
L’écrivain Lazhari Labter a, sans doute, raison de souhaiter que le nom d’Anna Gréki, de son vrai nom Colette Anna Grégoire, soit apposé quelque part en Algérie en hommage à cette militante de la cause nationale algérienne.
Poète et traductrice reconnue, Lamis Saïdi évoque dans cet entretien sa traduction du roman d’Arris de Yamina Mechakra (1949-2013) (El Kalima). «La traduction reste toujours pour chaque culture, cette ressource sûre en souffles de vie», note-t-elle. Projet en vue : Le déchet de passions : une traduction vers l'arabe d'une collection de poèmes, de nouvelles et d'articles du poète assassiné Youcef Sebti (1943-1993) qui paraîtra en 2024 en version bilingue aux éditions Terrasses.
Pour la première fois de sa carrière, Louisa Nadour, cette poétesse franco-algérienne qui n’est plus à présenter, a rencontré son public lors d’un bref séjour oranais.
L’artiste Assia Belhocine expose jusqu’au 28 janvier à la galerie Ezzou’Art à Alger. A l’aide de galets trouvés sur le bord de mer, elle les customise en de beaux tableaux iconiques plus vrais que nature. Dans cet entretien, elle revient sur cette passion naissante pour le galet en ne manquant pas de nous expliquer comment ces galets uniques prennent vie entre ses mains.