Malgré les imposantes manifestations populaires de la semaine écoulée et d’hier devant le Parlement contre les décisions du Premier ministre Benyamin Netanyahu, notamment le retour à la guerre à Ghaza et la destitution du chef du Shin Bet (la sécurité intérieure) et de la conseillère juridique, la coalition gouvernementale a été sauvée, hier, par l’adoption du budget de l’Etat d’un montant de 205 milliards de dollars, jamais atteint depuis la création d’Israël en 1948. Même si le Premier ministre a sauvé sa coalition et prolongé sa survie d’une année, grâce à l’extrême droite, la révolte populaire se poursuit et les appels se multiplient pour faire arrêter la guerre à Ghaza.
Le Premier ministre israélien a fait face, hier, à la fureur et la colère de milliers de manifestants rassemblés hier matin, devant le siège de la Knesset (parlement), pour dénoncer le limogeage du patron du Shin Bet et la reprise de la guerre contre Ghaza, après un cessez-le-feu de près de deux mois.
Le programme d’Algeria Exhibitions, filiale de la Société algérienne des foires et exportations (Safex), prévoit l’organisation de 50 manifestations économiques en 2025, a-t-on appris auprès de cette filiale. Parmi les importantes manifestations prévues cette année, figure l’exposition «Ramadhan au Palais», qui se tiendra du 4 au 24 mars prochain et qui permettra aux producteurs de promouvoir leurs produits et de se rapprocher des consommateurs.
Les réactions dénonçant la criminalisation par les autorités du Makhzen des défenseurs du peuple palestinien et des opposants à la normalisation avec l’entité sioniste occupante se multiplient, suite à la condamnation de 13 militants à six mois de prison avec sursis et à une amende, a rapporté samedi l’APS.
Le peuple algérien est «un peuple qui s’est imprégné, au fil des étapes et des époques, d’un patriotisme profondément enraciné, et qui s’est engagé, de génération en génération, à demeurer fidèle à la terre des chouhada et à leur message éternel», selon le président Tebboune.
L’Algérie commémore aujourd’hui le 64e anniversaire des manifestations du 11 décembre 1960, où le peuple algérien est sorti dans des manifestations massives, dans plusieurs villes du pays, pour réclamer haut et fort l’indépendance de l’Algérie et mettre un terme au mythe de «l’Algérie française».
La foule proteste contre le président conservateur de la région de Valence, qui a reconnu des «erreurs» dans la gestion de crise après les inondations très meurtrières.
Les manifestations en Géorgie contre la loi sur les « agents de l'étranger » reflètent une préoccupation croissante quant à la restriction des libertés civiques et à l'orientation politique du pays. Cette législation, inspirée par des modèles russes controversés, suscite des inquiétudes quant à la liberté d'expression et d'association en Géorgie.
Plusieurs villes et capitales à travers le monde ont été le théâtre samedi de manifestations massives de soutien au peuple palestinien et pour dénoncer l'agression sioniste contre la bande de Ghaza, a indiqué l'agence de presse Wafa.
La grogne, qui a également gagné l’Espagne et l’Italie, est particulièrement forte en France où, depuis lundi, des agriculteurs bloquent avec leurs tracteurs plusieurs axes autoroutiers menant vers Paris, provoquant une nouvelle crise sociale un an après la très contestée réforme des retraites.
Des milliers de personnes ont marché à Bruxelles pour exiger des actes concrets pour obtenir un cessez-le-feu à Ghaza et assurer la justice pour le peuple palestinien.
Mercredi 27 décembre, plusieurs milliers de manifestants ont convergé dans les rues de Buenos Aires pour le troisième rassemblement en une semaine, marquant leur opposition au décret de dérégulation économique massif du nouveau président ultralibéral, Javier Milei.
Les événements connus dans l’histoire contemporaine sous le nom des «manifestations du 11 décembre 1960» sont en fait un faisceau de faits historiques extrêmement importants, dont la lecture demeure, jusqu’à aujourd’hui, ouverte.
Sous le cri de ralliement «vous n'êtes pas seuls», environ un millier de manifestants se sont réunis jeudi 23 novembre à Utrecht, dans l'ouest des Pays-Bas, pour exprimer leur opposition à la victoire inattendue du candidat d'extrême droite Geert Wilders lors des élections législatives la veille. Une autre manifestation contre le parti d'extrême droite a également eu lieu en soirée à Amsterdam.
Le 23 novembre, l'Iran a procédé à l'exécution d'un individu condamné pour le meurtre d'un membre des forces de l'ordre pendant les manifestations de masse qui ont secoué le pays l'année dernière, selon des organisations de défense des droits humains.
Des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés samedi à Madrid sous la bannière «Pour l'État de droit, SOS l'UE», exprimant leur opposition à la future loi d'amnistie des dirigeants et militants séparatistes catalans, qui a conduit à la reconduction du gouvernement de gauche.
La mobilisation à Paris en faveur d'un "cessez-le-feu immédiat à Ghaza" a débuté samedi après-midi, initiée par le collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens. Ce collectif a également appelé à des manifestations à travers toute la France.
Des milliers de personnes ont à nouveau manifesté hier au Royaume-Uni pour soutenir les Palestiniens et demander un cessez-le-feu à Ghaza. A Londres, plutôt qu'un grand cortège comme les cinq samedis précédents, de nombreux rassemblements et défilés ont été organisés.
Au moins 5000 personnes ont manifesté, hier, à Amman pour réclamer l’annulation du traité de paix entre la Jordanie et l’entité sioniste et dénoncé les bombardements menés par les forces d’occupation contre la bande de Ghaza.
Le chef de l’opposition kényane Raila Odinga a affirmé hier qu’il ne dialoguerait avec le président William Ruto qu’en présence d’un «médiateur», pour mettre fin à plusieurs mois de manifestations meurtrières contre le gouvernement et la hausse du coût de la vie.