En raison d’une multiplication de chocs externes, les uns plus violents que les autres, depuis trois ans, l’économie mondiale est sous pression du fait d’un environnement d’incertitude totale et de risques multiples. Citons une inflation qui demeure très élevée après une année de resserrement des conditions monétaires, des turbulences dans le secteur bancaire et des risques géopolitiques aigus. Non sans surprise, le bilan macroéconomique à la fin du premier trimestre de 2023 est mitigé, avec les Etats-Unis et la zone euro enregistrant de faibles taux de croissance.
Le ministre des Affaires étrangères turc, Mevlüt Cavusoglu, a annoncé hier la tenue d’une réunion trilatérale jeudi à Antalya (sud) avec ses homologues russe et ukrainien, première rencontre entre les deux hommes depuis le début de la guerre, rapporte l’AFP.
La crise sanitaire connaîtra-t-elle son épilogue en 2022 ? C’est, en tout cas, l’un des engagements de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).