A la faveur d’une offensive inouïe contre l’Algérie, tous les méfaits coloniaux sont relativisés ou niés. Et lorsque le chroniqueur Aphatie a levé le couvercle de la honte, on l’a traîné devant la haute autorité de l’audiovisuel (Arcom) l Une campagne vindicative dont l’une des sources est dans l’histoire de l’extrême droite.
Plusieurs partis politiques ont dénoncé, vendredi, la poursuite de la campagne française hostile à l'Algérie, la qualifiant de «tentative de chantage désespérée», affirmant que «l'Algérie n'y cédera jamais et n'acceptera que des relations d'égal à égal».
Ce nouveau discours des autorités marocaines est, à la fois, étrange et inquiétant. Et pour cause, les autorités algériennes ne cessent d’afficher l’engagement de l’Algérie à contribuer à la paix et à la sécurité en Afrique et dans le monde.
Le Haut Conseil de sécurité (HCS) a exprimé mercredi ses «regrets» quant aux «agissements hostiles» des Emirats arabes unis contre l’Algérie. Les relations entre Alger et Abou Dhabi se sont considérablement détériorées au cours de ces dernières années, plus précisément depuis la normalisation des Emirats arabes unis avec Israël, dans le cadre des fameux Accords d’Abraham conclus en août 2020, sous l’égide de l’ancien président américain Donald Trump.
Dans de nombreux domaines, le Maroc et les Emirats prévoient de collaborer sur des solutions de financement impliquant les secteurs public et privé. Cependant, il est important de noter que plusieurs de ces projets se situent dans un territoire que le Maroc a annexé, sans tenir compte des résolutions de l’ONU et des aspirations du peuple sahraoui.