«Hocine Zahouane a été tout au long de son existence, de celles et ceux qui nous ont ouvert les yeux et ouvert la voie dans la lutte pour la liberté, l’indépendance, la dignité et la défense des droits humains. Qu’il repose en paix parmi les Justes», écrit l’historien Daho Djerbal en réaction à la disparition de Me Zahouane, décédé lundi soir.
Cela fait des années que cette fresque, qui se trouve pourtant en plein centre-ville, s’est complètement dégradée, sans susciter la moindre réaction de la part des responsables locaux.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a rendu, avant-hier, hommage aux femmes algériennes à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la femme (8 Mars).
Il avait signé son dernier article «Lirons-nous demain ?» quelques jours avant son décès, il y a 37 ans (le 28 février 1988). Un papier plaidant pour le rôle irremplaçable du livre, au début de l’apparition des nouvelles technologies de communication.
La championne olympique de boxe Imene Khelif a été chez la famille du regretté champion olympique de boxe Mustapha Moussa, décédé dernièrement, à laquelle elle a présenté de vive voix ses condoléances.
Une stèle commémorative a été inaugurée à Oran en hommage au chahid Ali Megtit, jeune héros de la Révolution, qui s’est illustré en 1957 par une opération contre les forces coloniales françaises. Cette cérémonie, organisée à l’occasion de la Journée nationale du chahid, a été présidée par le wali d’Oran, Samir Chibani, en présence des autorités locales, de la famille révolutionnaire ainsi que des proches du martyr.
l L’hommage rendu samedi dernier et à titre posthume à l’illustre chanteur Hassène Abbassi, décédé le 5 juillet dernier à l’âge de 80 ans, a été en tout point de vue conforme à ce que fut le digne fils des Ath-Abbas, dans la daïra des Ouacifs, cette terre fertile pour avoir vu naître en son giron d’innombrables et illustres hommes de culture et des arts pour ne parler que de ce volet.
Nour Eddine Saoudi est né en 1954 à Alger, ou plutôt à la Boucheraye à Fontaine fraîche sur les hauteurs de Oued Lamghacel, Bab El Oued. C’est dans sa ville natale, El Djazair, cité fondée par Bologhine Ibn Ziri sur les vestiges de l’antique Icosium qu’il fit ses études primaires à l’école Legembre dite «M’cid Labyed» puis secondaires au renommé lycée Emir Abdelkader juste en contre-bas de la Médina d’El Mahroussa, La Casbah.
La Radieuse vient de rendre un vibrant hommage aux sportifs internationaux qui ont servi de la meilleure manière qui soit le football et la boxe algériens. Cette cérémonie s’est déroulée dans une ambiance pleine de souvenirs et d’émotion.
Neveu des Racim, il en a subi l’influence, du moins a été marqué par leur trajectoire, puisque ce sont eux qui l’ont accompagné dans son parcours artistique.
Lors de la tenue des travaux de l'AGO de la FAF tenus au Cercle national de l'armée à Beni Messous (Alger), les responsables de la Fédération algérienne de football actuels (sous Walid Sadi) ont institué une louable et non moins honorable tradition, en rendant hommage aux anciens sportifs footballeurs, arbitres et même aux professionnels journalistes sportifs .
l Durant sa carrière qui s’est étalée sur près de 50 ans, cette chanteuse à la voix nasillarde, habillée en mlaya, a été une véritable militante qui a défié une société patriarcale, car elle croyait dur comme fer en sa noble mission d’artiste.
«La guerre, c’est la guerre des hommes. La paix, c’est la guerre des idées.»
En cette journée du samedi 18 janvier 2025 qui fut pluvieuse à Sétif, le chemin menant au Park Mall était plutôt mouvementé. Et pour cause, la ville de Sétif s’était ornée de ses plus beaux atours afin d’honorer la mémoire d’un de ses fils sportifs et surtout révolutionnaires ayant écrit son histoire en lettres d’or pleine de gloire.
La ville d’Annaba est en deuil après la disparition du Dr Kacha Azzedine, coordinateur médical au niveau de la commune d’El Bouni, relevant de l’EPSP d’Annaba. Homme de devoir et de grande humanité, il a marqué de son empreinte la santé publique dans la région, laissant derrière lui un héritage de dévouement et de professionnalisme.
Il est parti notre champion. Sur la pointe des pieds, loin des clameurs de la salle Harcha, des rings d’ici et d’ailleurs et du brouhaha de la vie. Il avait bouclé ses quatre-vingts ans, mais il paraissait nettement moins arborant fièrement, au moins la soixantaine, bon pied bon œil.
Mine affable, aux grands yeux vifs et chaleureux, Rabah Kheddouci m’a agréablement surpris en assistant au dernier Festival de la littérature et de la poésie, tenu à Ouargla durant la dernière semaine du mois de novembre 2024, ayant pour thème : «La littérature pour enfants», un créneau cher à mon mentor de marque.
C'est dans une excellente ambiance de fête et de souvenirs que l'association La Radieuse, présidée par Kada Chafi, a rendu un vibrant et émouvant hommage à des personnalités journalistiques qui ont marqué la presse sportive à la Radio et la Télévision nationales.
Une quinzaine de films traitant de plusieurs thématiques étaient au programme de la 20e édition de la Semaine du film algérien à Lille dédiée à la mémoire de l’artiste Djaaffar Bouhouf, décédé récemment.
Malgré sa défaite, samedi, en dehors de ses bases face à l’ASO Chlef, la JS Kabylie garde toujours sa place en tête du classement. Elle a raté de peu le partage des points avec son homologue de l’ASO qui a, à la dernière minute des débats, réussi à inscrire l’unique but de la partie et s’emparer des trois points de la victoire.