Nour Eddine Saoudi est né en 1954 à Alger, ou plutôt à la Boucheraye à Fontaine fraîche sur les hauteurs de Oued Lamghacel, Bab El Oued. C’est dans sa ville natale, El Djazair, cité fondée par Bologhine Ibn Ziri sur les vestiges de l’antique Icosium qu’il fit ses études primaires à l’école Legembre dite «M’cid Labyed» puis secondaires au renommé lycée Emir Abdelkader juste en contre-bas de la Médina d’El Mahroussa, La Casbah.
La Radieuse vient de rendre un vibrant hommage aux sportifs internationaux qui ont servi de la meilleure manière qui soit le football et la boxe algériens. Cette cérémonie s’est déroulée dans une ambiance pleine de souvenirs et d’émotion.
Neveu des Racim, il en a subi l’influence, du moins a été marqué par leur trajectoire, puisque ce sont eux qui l’ont accompagné dans son parcours artistique.
Lors de la tenue des travaux de l'AGO de la FAF tenus au Cercle national de l'armée à Beni Messous (Alger), les responsables de la Fédération algérienne de football actuels (sous Walid Sadi) ont institué une louable et non moins honorable tradition, en rendant hommage aux anciens sportifs footballeurs, arbitres et même aux professionnels journalistes sportifs .
l Durant sa carrière qui s’est étalée sur près de 50 ans, cette chanteuse à la voix nasillarde, habillée en mlaya, a été une véritable militante qui a défié une société patriarcale, car elle croyait dur comme fer en sa noble mission d’artiste.
«La guerre, c’est la guerre des hommes. La paix, c’est la guerre des idées.»
En cette journée du samedi 18 janvier 2025 qui fut pluvieuse à Sétif, le chemin menant au Park Mall était plutôt mouvementé. Et pour cause, la ville de Sétif s’était ornée de ses plus beaux atours afin d’honorer la mémoire d’un de ses fils sportifs et surtout révolutionnaires ayant écrit son histoire en lettres d’or pleine de gloire.
La ville d’Annaba est en deuil après la disparition du Dr Kacha Azzedine, coordinateur médical au niveau de la commune d’El Bouni, relevant de l’EPSP d’Annaba. Homme de devoir et de grande humanité, il a marqué de son empreinte la santé publique dans la région, laissant derrière lui un héritage de dévouement et de professionnalisme.
Il est parti notre champion. Sur la pointe des pieds, loin des clameurs de la salle Harcha, des rings d’ici et d’ailleurs et du brouhaha de la vie. Il avait bouclé ses quatre-vingts ans, mais il paraissait nettement moins arborant fièrement, au moins la soixantaine, bon pied bon œil.
Mine affable, aux grands yeux vifs et chaleureux, Rabah Kheddouci m’a agréablement surpris en assistant au dernier Festival de la littérature et de la poésie, tenu à Ouargla durant la dernière semaine du mois de novembre 2024, ayant pour thème : «La littérature pour enfants», un créneau cher à mon mentor de marque.
C'est dans une excellente ambiance de fête et de souvenirs que l'association La Radieuse, présidée par Kada Chafi, a rendu un vibrant et émouvant hommage à des personnalités journalistiques qui ont marqué la presse sportive à la Radio et la Télévision nationales.
Une quinzaine de films traitant de plusieurs thématiques étaient au programme de la 20e édition de la Semaine du film algérien à Lille dédiée à la mémoire de l’artiste Djaaffar Bouhouf, décédé récemment.
Malgré sa défaite, samedi, en dehors de ses bases face à l’ASO Chlef, la JS Kabylie garde toujours sa place en tête du classement. Elle a raté de peu le partage des points avec son homologue de l’ASO qui a, à la dernière minute des débats, réussi à inscrire l’unique but de la partie et s’emparer des trois points de la victoire.
Des gerbes de fleurs ont été déposées devant les stèles érigées à la mémoire du colonel Abane Ramdane à Oued Aissi et à Larbaâ Nath Irathen.
On ne peut pas évoquer l’âge d’or du cinéma algérien dans les années 1960 et 1970, ayant vu la production de chefs d’œuvre du 7e art, sans citer le célèbre duo «Inspecteur Tahar-l’Apprenti», incarné par les regrettés Hadj Abderrahmene et Yahia Benmabrouk.
La scène culturelle algérienne vient de perdre une énième plume, et pas des moindres. Boudaoud Amier, l’enfant prodige de Aïn Sefra (Naâma) nous quitte prématurément à l’âge de 64 ans.
Un bel hommage a été rendu, ces jours-ci, à l’artiste algérien M’hamed Issiakhem, précisément au hall de la salle de spectacles qui porte son nom, et ce, à l’initiative de l’association locale «Vue sur les arts culturelles».
L’écrivaine et pédagogue, Djoher Amhis, a eu droit à un vibrant hommage qui lui a été rendu, samedi, dans sa commune natale, Ath Yenni, dans la wilaya de Tizi Ouzou, où l’APC, en collaboration avec le comité communale des fêtes ainsi que l’association des amis de la rampe Louni Arezki de La Casbah, a concocté un riche programme d’activités en l’honneur à cette femme emblématique de la région.
L’APC d’Ath Yenni, à 45 kilomètres au sud-est de la wilaya de Tizi Ouzou, a, en collaboration avec le comité communal des fêtes ainsi que l’association Les Amis de la rampe Louni Arezki de La Casbah, a rendu, hier, hommage à l’écrivaine et pédagogue Djoher Amhis, dont la vie et le parcours ont été revisités par des membres de sa famille, ses amis, des universitaires ainsi que des hommes de culture.
Le café culturel Derb Sidi el Djebbar a rendu un vibrant hommage à l’écrivain et homme de théâtre Othmne Allal (1922-2002).