L’écrivaine et pédagogue, Djoher Amhis, a eu droit à un vibrant hommage qui lui a été rendu, samedi, dans sa commune natale, Ath Yenni, dans la wilaya de Tizi Ouzou, où l’APC, en collaboration avec le comité communale des fêtes ainsi que l’association des amis de la rampe Louni Arezki de La Casbah, a concocté un riche programme d’activités en l’honneur à cette femme emblématique de la région.
L’APC d’Ath Yenni, à 45 kilomètres au sud-est de la wilaya de Tizi Ouzou, a, en collaboration avec le comité communal des fêtes ainsi que l’association Les Amis de la rampe Louni Arezki de La Casbah, a rendu, hier, hommage à l’écrivaine et pédagogue Djoher Amhis, dont la vie et le parcours ont été revisités par des membres de sa famille, ses amis, des universitaires ainsi que des hommes de culture.
Le café culturel Derb Sidi el Djebbar a rendu un vibrant hommage à l’écrivain et homme de théâtre Othmne Allal (1922-2002).
Native d’Ath Yenni, Djoher Amhis-Ouksel, éducatrice et essayiste de renom, s’est très tôt intéressée à la littérature algérienne. A son actif, plusieurs essais. L’association Les Amis de la Rampe Louni Arezki, présidée par l’infatigable Lounis Aït Aoudia, rendra hommage à une essayiste, presque centenaire, qui a tant donné à la littérature algérienne.
Madame, Avec mes sincères condoléances, je m’associe à votre chagrin. Je partage également votre douleur parce que je perds plus qu’un ami, un frère qui a lutté à nos côtés, en s’éloignant de sa communauté d’origine.
Une exposition en hommage au peintre Abderrahmane Mekki est proposée au public du musée d’Oran depuis jeudi dernier, jour du vernissage qui a rassemblé un grand nombre d’invités, dont notamment des artistes peintres, des enseignants dans les Beaux-Arts mais surtout beaucoup d’étudiants du domaine et de l’école d’Oran en particulier.
Ils étaient tous là. Les membres de sa famille, ses amis, d’anciens maquisards, des fils de chouhada, des représentants des autorités... L’occasion est de rendre un vibrant hommage à un moudjahid de la commune de Yakourene.
Au début de l’année 1954, Badji Mokhtar avait participé à la création du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA), avec Mostefa Benboulaïd.
Sobre mais merveilleux hommage que celui auquel le chanteur Akli Aït Boumehdi a eu droit, dernièrement, à l’occasion de la célébration de son 69e anniversaire et de ses presque cinquante ans de carrière.
Pour ceux qui le connaissent, Améziane Ferhani était un passionné des arts et de la culture. En sa qualité de journaliste, il a contribué à l’animation de la vie culturelle depuis le milieu des années 1970, d’abord au journal El Moudjahid, puis à l’hebdomadaire Algérie Actualité.
Sous les projecteurs du Théâtre régional Mohamed-Tahar Fergani de Constantine, s’est tenue, jeudi dernier, la première représentation de l’épopée théâtrale Les Révoltés. Inscrite dans le cadre des célébrations marquant le 70e anniversaire de la Révolution du 1er Novembre 1954.
Les participants à une conférence organisée à Djelfa en hommage au chahid Ziane Achour (1919-1956) ont évoqué le combat et le parcours héroïque de ce héros national, qualifié de «lion du désert» au vu de ses hauts faits d’armes durant la glorieuse guerre de Libération nationale.
Lors de nos nombreuses rencontres, je lui avais demandé un jour quelle sensation il éprouvait à la fin d’un match accompli. «Une prestation sur le terrain, pour être pleine, attrayante et captivante devant des milliers de spectateurs, est une rude tâche, qui se travaille pendant des semaines et des mois dans la souffrance et le sacrifice.
l Rien, semble-t-il, ne prédestinait cet Alsacien né en pleine guerre dans une famille germanophone, qui fit de solides études de lettres à Strasbourg et Montpellier, avant d’être nommé professeur certifié dans un lycée du nord de la France, à devenir l’un des plus éminents spécialistes des littératures postcoloniales du nord de l’Afrique.
La Fédération algérienne de football (FAF) rendra un vibrant hommage à Moh Cherif Hanachi (1950-2024 à l’occasion du match Algérie-Libéria, le 17 novembre au stade Hocine Ait Ahmed.
Dans un article publié dans le journal Echihab du 13 juillet 1934, il est noté que sur la liste des 149 élèves de cheikh Abdelhamid Benbadis à Djamaâ Lakhdar de Constantine dans les années 1930, 10 d’entre eux sont issus de la région de Ghassira dans les Aures.
Le président de la République a affirmé que «seules une armée forte et redoutée et une économie développée sont à même de sauvegarder la souveraineté nationale».
Un hommage a été rendu, dimanche, au chahid Ali Mellah, colonel de l’ALN et responsable de la Wilaya VI historique. A M’Kira, dans la daïra de Tizi Gheniff, à l’extrême sud-ouest de Tizi Ouzou, dans la commune natale de ce martyr, des festivités commémoratives ont eu lieu pour revisiter le parcours du défunt à l’occasion du 67e anniversaire de sa disparition, un certain 31 mars 1957.
La fête de la Victoire a été célébrée dans plusieurs communes de la wilaya de Tizi Ouzou.
Le chanteur et pianiste martiniquais, Maher Beauroy, accompagné de sa bande, étaient de passage à Oran, samedi dernier, où ils ont offert au public un show musical des plus époustouflants.