Ils étaient tous là. Les membres de sa famille, ses amis, d’anciens maquisards, des fils de chouhada, des représentants des autorités... L’occasion est de rendre un vibrant hommage à un moudjahid de la commune de Yakourene.
Au début de l’année 1954, Badji Mokhtar avait participé à la création du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA), avec Mostefa Benboulaïd.
Sobre mais merveilleux hommage que celui auquel le chanteur Akli Aït Boumehdi a eu droit, dernièrement, à l’occasion de la célébration de son 69e anniversaire et de ses presque cinquante ans de carrière.
Pour ceux qui le connaissent, Améziane Ferhani était un passionné des arts et de la culture. En sa qualité de journaliste, il a contribué à l’animation de la vie culturelle depuis le milieu des années 1970, d’abord au journal El Moudjahid, puis à l’hebdomadaire Algérie Actualité.
Sous les projecteurs du Théâtre régional Mohamed-Tahar Fergani de Constantine, s’est tenue, jeudi dernier, la première représentation de l’épopée théâtrale Les Révoltés. Inscrite dans le cadre des célébrations marquant le 70e anniversaire de la Révolution du 1er Novembre 1954.
Les participants à une conférence organisée à Djelfa en hommage au chahid Ziane Achour (1919-1956) ont évoqué le combat et le parcours héroïque de ce héros national, qualifié de «lion du désert» au vu de ses hauts faits d’armes durant la glorieuse guerre de Libération nationale.
Lors de nos nombreuses rencontres, je lui avais demandé un jour quelle sensation il éprouvait à la fin d’un match accompli. «Une prestation sur le terrain, pour être pleine, attrayante et captivante devant des milliers de spectateurs, est une rude tâche, qui se travaille pendant des semaines et des mois dans la souffrance et le sacrifice.
l Rien, semble-t-il, ne prédestinait cet Alsacien né en pleine guerre dans une famille germanophone, qui fit de solides études de lettres à Strasbourg et Montpellier, avant d’être nommé professeur certifié dans un lycée du nord de la France, à devenir l’un des plus éminents spécialistes des littératures postcoloniales du nord de l’Afrique.
La Fédération algérienne de football (FAF) rendra un vibrant hommage à Moh Cherif Hanachi (1950-2024 à l’occasion du match Algérie-Libéria, le 17 novembre au stade Hocine Ait Ahmed.
Dans un article publié dans le journal Echihab du 13 juillet 1934, il est noté que sur la liste des 149 élèves de cheikh Abdelhamid Benbadis à Djamaâ Lakhdar de Constantine dans les années 1930, 10 d’entre eux sont issus de la région de Ghassira dans les Aures.
Le président de la République a affirmé que «seules une armée forte et redoutée et une économie développée sont à même de sauvegarder la souveraineté nationale».
Un hommage a été rendu, dimanche, au chahid Ali Mellah, colonel de l’ALN et responsable de la Wilaya VI historique. A M’Kira, dans la daïra de Tizi Gheniff, à l’extrême sud-ouest de Tizi Ouzou, dans la commune natale de ce martyr, des festivités commémoratives ont eu lieu pour revisiter le parcours du défunt à l’occasion du 67e anniversaire de sa disparition, un certain 31 mars 1957.
La fête de la Victoire a été célébrée dans plusieurs communes de la wilaya de Tizi Ouzou.
Le chanteur et pianiste martiniquais, Maher Beauroy, accompagné de sa bande, étaient de passage à Oran, samedi dernier, où ils ont offert au public un show musical des plus époustouflants.
L’Assemblée populaire nationale (APN) a rendu hier un vibrant hommage à la femme palestinienne et aux icônes de la Révolution algérienne. Des moudjahidate, des députés et des représentantes de la société civile ont pris part à la journée parlementaire organisée par la Chambre basse du Parlement à l’occasion du 8 Mars et dédiée à la femme palestinienne.
Le président Abdelmadjid Tebboune a estimé jeudi, dans un message à l’occasion de la célébration de la journée du 8 Mars, qu’«il n’est pas étonnant de voir la femme algérienne s’adjuger une place prépondérante, occuper de hauts postes et gagner le respect et la reconnaissance des Algériennes et des Algériens pour son apport».
Un vibrant hommage a été rendu, dimanche dernier, au défunt plasticien, décorateur et costumier de cinéma algérien, Arezki Larbi, à la maison de la culture Ali Zamoum de la ville de Bouira.
En signe de commémoration et par devoir de mémoire, le théâtre régional d’Oran a décidé de dédier toute sa programmation du mois de mars au grand dramaturge algérien Abdelkader Alloula lâchement assassiné en 1994 par des terroristes intégristes.
A l’occasion du 35e anniversaire de la disparition de l’écrivain et anthropologue, Mouloud Mammeri, la direction de la culture et des arts de la wilaya de Tizi Ouzou a préparé un programme d’une semaine d’activités, et ce, afin d’exposer des livres, des photos et des articles de presse ainsi que d’organiser des festivités pour revisiter la vie et l’œuvre du défunt.
l Dans le cadre de la célébration du 29e anniversiare du décès de l’homme de culture Azzeddine Medjoubi, un hommage sous forme d’une journée commémorative lui sera dédié le mardi 13 février, à partir de 11h, au Théâtre national d’Alger.