La clôture des journées du court métrage de Calama, événement culturel organisé par l’association Sânii El Besma (Faiseurs du sourire) pour la promotion des arts de la jeunesse et de l’enfance de Guelma, sous le patronage du wali de Guelma, avec le soutien du ministère de la Culture et des Arts, a eu lieu vendredi en fin d’après-midi, au cinéma El Intissar (Le Triomphe) de la ville de Guelma.
L’ouverture des journées du court métrage «Calama» a eu lieu finalement hier à 15h à la salle des spectacles de la maison de la culture Abdelmadjid Echafii de la ville de Guelma, et non à la salle de cinéma El Intissar (Le Triomphe). Des retouches organisationnelles et logistiques avaient été préconisées à la dernière minute.
Le rapport définitif du plan de circulation de la ville de Guelma, un document de 34 pages, a été diffusé à qui de droit, en juin 2016, par la direction des transports pour son application.
La faculté des sciences de la nature et de la vie et sciences de la terre et de l’univers, département de biologie à l’Université 8 mai 1945 de Guelma organise les 16 et 17 décembre à l’auditorium Saci Benhamla, le 1er congrès international sur l’entomologie médicale et vétérinaire, risques sanitaires et environnementaux. Ainsi, la langue anglaise s’est imposée comme moyen de communication lors de ce congrès, a-t-on constaté sur place.
l L’association de wilaya pour la promotion des arts de la jeunesse et de l’enfance de Guelma organisera, du 17 au 20 décembre, des journées du court métrage au cinéma Le Triomphe.
Bien que la réglementation relative à ce genre d’opérations existe, elle n’est pas toujours appliquée, favorisant le phénomène des tranchées sommairement comblées ou mal colmatées.
l La situation est plus complexe, d’autant que le ministère de l’Agriculture avait interdit l’abattage d’arbres en milieu urbain et suburbain, sans le dépôt d’un dossier dûment établi auprès de la Conservation des forêts.
l Au boulevard du Volontariat, des scènes surréalistes sont vécues chaque jour où des bus et autres automobilistes sont bloqués sur la double voie provoquant des bouchons.
La forteresse byzantine (ex-Caserne) de Guelma est classée depuis 1999 patrimoine national par le ministère de Culture et des arts.
Le projet de la gare routière de la ville de Guelma, inscrit au titre du plan quinquennal 2005-2009, arrive à son terme. Il a fallu attendre près de deux décennies pour voir ce projet émerger, le premier du genre dans la wilaya, à la sortie nord de la ville de Guelma, sur la route d’Annaba.
Le théâtre régional (TR) Mahmoud Triki de la ville de Guelma a fière allure. Des spots d’ambiance aux couleurs nationales ornent, depuis quelques jours, ses quatre façades refaites.
Des apiculteurs venus de plusieurs wilayas du territoire national sont depuis quelques jours à Guelma pour vendre leurs produits issus de la ruche, dont, en plus des différentes variétés de miels de montagne (poly floraux), d’eucalyptus, oranger, jujubier, euphorbe, l’on retrouve également sur les étalages les cires, les savons à base de miel, la propolis, la gelée royale et autres.
La sécurisation de l’eau et des denrées alimentaires a été de tout temps «un souci majeur» pour les civilisations qui nous ont précédées. «Les guerres et les invasions se faisaient et se font toujours en utilisant l’arme de la famine et de la soif pour mieux assiéger les populations voir même les réduire en esclavage ou les anéantir comme c’est le cas en Palestine et à gaza en particulier».
Le Ficus retusa, un arbre majestueux au feuillage vert toute l’année fait de résistance dans la wilaya de Guelma. Plus que centenaire, cet arbre originaire d’Indonésie, très robuste, a été introduit pour orner et ombrager les rues ainsi que les avenues de la cité durant la dernière décennie du XIXe siècle à Guelma.
Chaque vendredi, les déchets s’accumulent dans les rues et avenues de Guelma et parfois même au-delà du week-end. Les raisons de cette situation lamentable incombent inéluctablement au service chargé de l’enlèvement des ordures ménagères de la mairie de Guelma et plus que jamais à l’incivilité des habitants qui s’ingénient à créer des dépotoirs sauvages en plein centre de l’agglomération.
La wilaya de Guelma est à présenter lorsqu’il s’agit de patrimoine matériel et immatériel tant cette région n’aura pas fini d’émerveiller ses visiteurs. Mais, contre toute attente, les pouvoirs publics n’ont pas mis en valeur ni même fait connaître ce trésor à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine, dont l’ouverture n’a pas manqué de faire rougir de honte, jeudi dernier.
Le mois du ramadan a été pour beaucoup d’habitants une occasion de flâneries nocturnes à Guelma. Mais, en dehors des rues commerçantes et autres cités du centre administratif de la ville où l’éclairage public a été renforcé, réhabilité, voire connu un embellissement, les quartiers populaires demeurent, eux, sous-éclairés et parfois même dans la pénombre.
La fourniture et la pose d’un poste transformateur électrique pour alimenter le théâtre régional Mahmoud Triki de la ville de Guelma fait l’objet depuis quelques jours d’une opposition au choix du terrain de la part de l’association de quartier Jugurtha qui, faudrait-il le souligner, a un droit de regard, conformément à la législation, en sa qualité de représentant de la société civile et de cet îlot d’habitation en particulier.
La relance du projet de la gare routière de Guelma est enfin visible à la sortie nord de la ville, plus précisément sur la RN 21, axe routier menant vers Annaba. L’édifice s’est paré d’un habillage en alucobond très en vogue de nos jours et qui n’est autre qu’un concept de panneaux en aluminium pratiquement incombustibles. Délimitée par une clôture en fer forgé avec accès, le taux d’avancement du projet aurait dépassé les 75 % pour cette gare routière de type A.
Onze années de chantier et ce n’est pas fini au nouveau silo à grains de la Coopérative des céréales et des légumes secs (CCLS) de la commune de Belkheir, dans la wilaya de Guelma. Telle est la situation, à quelques semaines du lancement de la campagne moisson-battage qui mobilise l’OAIC (l’Office algérien interprofessionnel des céréales) puisque c’est cet office qui est le maître de l’ouvrage.