L'Algérie a récemment renforcé son engagement envers la cause palestinienne en manifestant une solide solidarité envers les enfants palestiniens blessés.
Jonathan Crickx, porte-parole de l’Unicef dans les Territoires palestiniens occupés, affirme que des milliers d’enfants palestiniens «sont non accompagnés ou séparés de leur famille» dans la Bande de Ghaza, et que la quasi-totalité des mineurs issus de l’enclave dévastée ont besoin de soutien psychologique.
La forte médiatisation de la guerre menée depuis le 7 octobre dernier par l’armée sioniste contre les Palestiniens à Ghaza a eu un effet considérable sur l’opinion internationale.
Dès 2009, Israël a mis en place un tribunal militaire spécialement dédié au traitement des «atteintes à la sécurité» commises par les mineurs palestiniens. La responsabilité criminelle des individus est définie à partir de l’âge de 12 ans et les arrestations s’opèrent en violation flagrante et assumée de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant.
Le conflit entre l’armée d’occupation israélienne et les Palestiniens ne date pas du 7 octobre dernier, il a commencé en 1948 avec la décision du Conseil de sécurité de l’ONU ou plutôt des cinq puissances mondiales de créer une entité israélienne en Palestine.