Plusieurs dossiers de corruption impliquant trois chefs de gouvernement, Ahmed Ouyahia, Abdelmalek Sellal et Noureddine Bedoui, de nombreux ministres, des hommes d’affaires liés aux cercle présidentiel, incarné par Saïd Bouteflika, le frère-conseiller du défunt Président déchu, ainsi que de hauts fonctionnaires de l’Etat, et ouverts entre 2019 et 2020, sont pour la plupart clôturés avec des décisions définitives et quelques-uns restent pendants au niveau de la Cour suprême.
Les avocats de GB Pharma, appartenant aux frères Benhamadi, ont réclamé la levée de la saisie, estimant que le décès de Moussa Benhamadi en prison «aurait dû entraîner l’extinction des poursuites, ce qui n’a pas été fait».
Après sept reports, le procès en appel de l’affaire liée à l’octroi de terrains d’investissement en violation de la loi à Tipasa s’est ouvert avant-hier devant la chambre correctionnelle près la cour de Boumerdès.
Mardi 15 février 2022, le pôle financier lance une grande opération de perquisition, mise sous scellés, saisie et confiscation de biens appartenant à de nombreux hommes d’affaires et hauts fonctionnaires ainsi que les membres de leurs familles, poursuivis et condamnés (pour certains définitivement) dans des affaires de «corruption» et de «blanchiment d’argent».
Le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté, mercredi 16 février, le procès de l'affaire du groupe agroalimentaire "Benamor" et de l'ancien wali Mustapha Layadi, au 23 février en cours.
Le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté, mercredi 2 février, le procès des accusés dans l'affaire du groupe agroalimentaire "Benamor", au 16 février en cours.
Le tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a condamné, mercredi 19 janvier, à 4 ans de prison ferme l'ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal et à une peine de 5 ans de prison ferme l'ancien ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, poursuivis pour corruption dans l'affaire du groupe "Amenhyd".
Une peine de 10 ans de prison ferme a été requise contre l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et l’ancien chef du protocole de la Présidence, Mokhtar Reguieg, dans le cadre du procès de l’homme d’affaires Hocine Metidji, patron du groupe éponyme, contre lequel la même peine a été réclamée, mais avec une amende de 8 millions de dinars et une interdiction de se faire élire durant 3 ans, alors que sa défense a plaidé la relaxe en dénonçant ce qu’elle qualifie de «harcèlement judiciaire».
Une peine de 10 ans de prison ferme a été requise par le pole financier d’Alger, contre l’ex Premier ministre Abdelmalek Sellal, l'ancien chef du protocole de la présidence, Mokhtar Reguieg, assortie d’une amende d’un million de dinars et d’une interdiction du droit de se faire élire durant 5 ans, dans le cadre du procès de l’homme d’affaire, Hocine Metidji, patron du groupe éponyme, contre lequel, la meme peine a été réclamée mais avec une amende de 8 millions de dinars et une interdiction de se faire élire, durant 3 ans.
Le procureur de la République près le pôle pénal financier et économique du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a requis une peine de 8 ans de prison ferme à l'encontre de l'ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal et de l'ancien ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, poursuivis pour corruption dans l'affaire du groupe "Amenhyd".
L’ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal s’est défendu, jeudi dernier, en affirmant avoir assumé «une fonction politique» et, de ce fait, il n’est ni un agent public ni un fonctionnaire pour être visé par la loi sur la corruption. Il qualifie les poursuites de «nulles et non avenues» et précise que la décision prise en tant que Premier ministre était politique et collégiale. Les deux anciens walis Mohamed Hattab et Abdelkader Zoukh ainsi que l’ex-ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, ont tous nié les faits qui leur sont reprochés.
Le Pôle pénal économique et financier du Tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a décidé aujourd'hui de reporter au 10 janvier prochain le procès de l'ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de son ancien directeur de cabinet, Mustapha Rahiel, de l'ancien chef du protocole à la Présidence de la République, Mokhtar Reguieg, et d'anciens ministres, poursuivis dans une affaire de corruption.