Depuis son indépendance en 1991, l’Ukraine n’a pas cessé d’être un champ de bataille entre l’Occident et la Russie. La crise qui la touche aujourd’hui et dont elle est entre temps l’enjeu traduit le prolongement des «révolutions» libérales «de couleur» ayant marqué les ex-républiques soviétiques : la Géorgie en 2003, l’Ukraine et le Kirghizstan respectivement en 2004 et 2005.
La Russie lancera-t-elle une offensive contre l’Ukraine ? Même si les autorités russes ont assuré à de nombreuses reprises qu’elles ne joueront pas la carte de l’escalade et qu’elles n’ont pas l’intention d’envahir leur voisin «passé à l’Ouest», les Etats-Unis soutiennent mordicus qu’une attaque russe contre Kiev est imminente. La Russie est d’ailleurs accusée depuis plusieurs mois par les Occidentaux d’avoir massé plus de 100 000 soldats et des armes lourdes à la frontière ukrainienne.
Où va la Libye ? Déjà miné par la fracture entre l’Est et l’Ouest, le pays s’est davantage enfoncé dans la crise en se retrouvant avec deux Premiers ministres rivaux à Tripoli, après avoir manqué l’échéance électorale cruciale de décembre 2021.
De l’Ukraine à la Colombie, n’y aurait-il qu’un pas ? Depuis plusieurs jours, Washington et Bogota accusent la Russie de tentative de déstabilisation à la frontière entre la Colombie et le Venezuela, conséquence inattendue du bras de fer russo-américain qui se joue aux frontières de l’Ukraine. «Pourquoi la Russie est-elle plus active aux frontières de la Colombie ?
Trois attaques à la bombe artisanale, mardi et jeudi, ont fait au moins 9 morts, dont un Français, et 12 blessés parmi les équipes en charge de sécuriser le parc naturel W dans le nord du Bénin, selon un nouveau bilan du gouvernement béninois.
En mars 2021, le chef de la diplomatie américaine a qualifié la Chine de «plus grand défi géopolitique du XXIe siècle».
Le chancelier allemand Olaf Scholz a salué hier les «progrès» en vue d’une désescalade de la crise entre Moscou et Kiev, rapporte l’AFP. «La mission est d’assurer la sécurité en Europe, et je crois que nous y parviendrons», a ajouté le dirigeant allemand lors d’une conférence de presse à Berlin avec la cheffe du gouvernement danois, Mette Frederiksen.
La Cour internationale de justice (CIJ) a fixé hier à 325 millions de dollars le montant des réparations que Kampala doit verser à Kinshasa pour l’invasion par l’Ouganda de l’est de la République démocratique du Congo (RDC), lors de la guerre de 1998-2003, selon l’AFP. Kinshasa a réclamé plus de 11 milliards de dollars, un montant qualifié d’exorbitant par Kampala.
Après avoir dissous, dimanche dernier, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), le président tunisien, Kaïs Saïed, fait face aux pressions croissantes des juges et des Occidentaux.
Après des consultations à Moscou lundi à Moscou, Emmanuel Macron a assuré hier à Kiev voir des «solutions concrètes» à la crise russo-occidentale liée à l’Ukraine, selon des propos recueillis par l’AFP.
Trente ans de prison ferme ont été requis hier contre l’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, accusé d’être le principal commanditaire de l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’Etat en 1987, rapporte l’AFP.
Trois Palestiniens ont été tués mardi par des tirs de l'armée israélienne à Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie occupée, a rapporté le ministère de la Santé palestinien.
Trente ans de prison ferme ont été requis mardi 8 février contre l'ancien président du Burkina Faso Blaise Compaoré, accusé d'être le principal commanditaire de l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d'un coup d'Etat en 1987.
Le ballet diplomatique européen se poursuit dans l’espoir d’atténuer la tension entre la Russie et l’Occident sur la crise ukrainienne.
Le Parlement libyen a auditionné hier deux candidats retenus pour le poste de Premier ministre à la tête du gouvernement, avant un vote prévu jeudi, rapporte l’AFP. Une démarche susceptible d’exacerber les luttes de pouvoir.
Les forces de sécurité soudanaises ont tiré hier à Khartoum des grenades lacrymogènes pour disperser des milliers de manifestants réclamant justice pour les dizaines de morts de la répression menée par la junte depuis le coup d’Etat d’octobre et le départ des militaires du pouvoir, rapporte l’AFP.
Les forces de sécurité soudanaises ont tiré lundi 7 février à Khartoum des grenades lacrymogènes pour disperser des milliers de manifestants réclamant justice pour les 79 morts de la répression lancée par le pouvoir militaire après son putsch en octobre, a constaté un journaliste de l'AFP.
Totale mainmise sur l’Etat par le président Saïed avec sa dissolution, avant-hier, du Conseil supérieur de la magistrature. Plusieurs dossiers lourds traînent dans les tribunaux, dont l’assassinat de Chokri Belaïd, en 2013. Véritable bras de fer avec les islamistes et la corruption dans la magistrature.
Suspension de la décision relative à l’octroi du statut d’observateur à Israël à l’Union africaine (UA) et condamnation des coups d’Etat. C’est ce qui ressort du 35e sommet de l’UA tenu samedi et dimanche dans la capitale de l’Ethiopie, Addis-Abeba.
Les négociations sur le programme nucléaire civil de l’Iran, qui entrent dans leur dernière ligne droite, n’ont pas permis jusqu’à présent d’aboutir à des engagements équilibrés entre Washington et Téhéran, a estimé hier le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, cité par l’AFP.