Le derby algérois entre le Mouloudia d’Alger et l’USM Alger, pour le compte de la 26e journée fut, à l’instar des années précédentes, merveilleusement coloré sur les gradins mais peu captivant sur le terrain.
Décidément, l’Entente n’a pas fini d’inquiéter ses fidèles supporters. Pourtant, les déclarations du driver sétifien, le technicien tunisien Ammar Souayah avant le déplacement à Oran, étaient rassurantes. La lourde défaite ou plutôt la chute libre subie de son équipe devant les Hamraoua demeure, pour la famille sétifienne, profondément inquiétante.
C’est à partir de ce samedi que sera donné le coup de sifflet du début du tournoi international de football dans la configuration de plateaux entre des jeunes ne dépassant pas l’âge de 10 ans et ce, jusqu’à demain.
D’habitude, les matchs décisifs entre les clubs jouant l’accession, la relégation et même le podium intervenant à quelques journées de la fin du championnat étaient considérés, à juste titre d’ailleurs, comme des rencontres à hauts risques.
A Sétif, et cela depuis la nuit des temps, le judo jouit d’une forte audience parmi les jeunes et était pratiqué à grande échelle. De grands noms d’athlètes et de techniciens sont gardés dans la mémoire collective sportive qui est restée intacte. Il y avait des salles partout de privés et particulièrement dans les Maisons de jeunes implantées équitablement à travers les différents quartiers de la ville.
El Hadj Mohamed Cheurfi, plus connu dans le milieu du sport et du football en particulier à Sétif ou plutôt à travers le territoire national sous le sobriquet de «El Hadj DADA» s’est éteint hier durant la matinée en son domicile à Sétif à l’âge de 92ans.
Vendredi, la localité de Maafar qui se trouve à 45km à l’extrême région Sud-Ouest du chef-lieu de la wilaya de Sétif et appartenant au territoire de la commune Salah Bey, a connu une effervescence peu coutumière par l’organisation de 2e semi-marathon sur la distance de 21,097 km.
Après avoir brillamment tenu et réellement honoré ses engagements annoncés publiquement à l’effet d’utiliser la VAR lors des quarts et demi-finales de la Coupe d’Algérie, la FAF a, par la voix et l’image du chargé de la CFA, laissé croire que la technologie de la VAR n’est pas (ou plus) d’actualité.
Notre compatriote l’arbitre international Mustapha Ghorbal a été retenu par la Commission des arbitres de la CAF pour diriger la finale aller devant opposer les Tunisiens de l’Espérance aux Cairotes d’Al Ahly, le 18 mai prochain à Radès (Tunis) à partir de 20h.
Après de longues concertations et mûre réflexion, le choix des hauts responsables de Sonelgaz, particulièrement son boss Mourad Adjal, P-DG du Groupe, s’est finalement porté sur une personnalité sportive fortement connue en Algérie et particulièrement à Sétif pour avoir dirigé le club sétifien à plusieurs reprises comme entraineur. Il s’agit du technicien Abdelkrim Bira.
Le 1er Mai dernier a coïncidé avec l’organisation de la 2e rencontre nationale des anciens arbitres tenue à Sétif, laquelle s’inscrit dans l’optique du combat inlassable que mènent certains anciens chevaliers du sifflet par devoir de mémoire, contre l’oubli et la marginalisation des compétences.
Désormais, c’est le tribut que ne cessent de payer tous ceux (du moins la majorité) ayant brûlé les étapes de la hiérarchie arbitrale. Il est vrai que la FIFA privilégie la promotion de certains jeunes talents prometteurs ayant, en parallèle avec leurs qualités sportives, un appréciable niveau intellectuel de manière à savoir surmonter les difficultés liées aux fortes pressions.
Devant une assistance faible, sur une pelouse dans un état déplorable du stade El Alia de Biskra et sous une chaleur à la limite du supportable s’est jouée la confrontation entre Biskris et Sétifiens dans le cadre de la 24e journée du championnat de Ligue 1 Mobilis.
La conférence de presse d’avant-match de la deuxième demi-finale de la Coupe d’Algérie 2024 entre l’USMA et le CRB nous a fait découvrir une attitude pour le moins étonnante sous une trame provocante et même humiliante lors de la prestation de l’entraineur du Chabab de Belouizdad, le Brésilien Marcos Paqueta (66 ans).
Le premier choc des demi-finales de la Coupe d’Algérie a opposé les deux doyens des clubs algériens, en l’occurrence le Mouloudia d’Alger et le Club constantinois, pratiquement le leader et son dauphin en championnat.
Tant sur les gradins du stade olympique du 5 Juillet, où il y avait d’abord les milliers d’inconditionnels et supporters des Rouge et Noir de l’USMA, et surtout ceux des autres clubs algérois et même ceux venus de partout les soutenir, en Algérie, quand il s’agit d’une affaire qui concerne l’intérêt suprême de la nation, et même dans le domaine sportif, la traditionnelle rivalité sportive entre clubs fond comme neige au soleil et disparaît à jamais pour laisser place à la mobilisation générale et au soutien en toutes circonstances, et ce, jusqu’au recouvrement des droits.
Affirmatif. Les arbitres étaient bel et bien sur le terrain ainsi que ceux en cabine de la VAR. Ce sont les officiels de la compétition et ils étaient bien en place. Tous les autres faits (d’ordre administratif et autre) ne concernent aucunement les arbitres.
C’est devant une faible assistance que l’Entente de Sétif a assuré une victoire salutaire devant son adversaire du jour, la Jeunesse sportive de Saoura.
Le carré d’as formant les clubs qualifiés aux demi-finales de l’épreuve populaire reflète réellement le classement actuel (à l’issue de la 22e journée du championnat de Ligue 1) et confirme d’une manière irréfutable la qualité des qualifiés arrivés à ce tour décisif pour une place en finale.
Demain (vendredi), l’Entente jouera, dans le cadre de la 23e journée du championnat, à domicile face à la Jeunesse de Saoura, un match décisif pour la course au podium. Lequel objectif fut fixé par les dirigeants en place, en plus d’aller le plus loin possible en Coupe d’Algérie. L’Entente de Sétif était de tout temps considérée comme une équipe de coupe.