Le tissage et la confection d’un produit de qualité doivent répondre à des critères et des normes garantissant à la fois son authenticité, son origine ainsi que sa matière première. Comme pour le cachemire de Mongolie ou la soie de Chine ou autre produit de luxe, la garantie de la matière première entrant dans la fabrication de la kachabia ou du burnous est un gage de sûreté et de qualité du produit.
Une délégation de l’Association des producteurs de la figue sèche de Béni Maouche est venue à Messaad partager son expérience dans la démarche de labellisation de ce produit.
Dans une conjoncture économique assez délicate, marquée par le recul du pouvoir d’achat des Algériens, les vacances sont devenues pour certains de moins en moins accessibles. Si une catégorie sacrifie carrément ce moment d’évasion tant attendu surtout pour les enfants, d’autres ont du mal à concevoir l’été sans un voyage ou un déplacement, soit en Algérie ou à l’étranger.
En plus des 15 entreprises publiques à l’arrêt qui seront relancées avant la fin de l’année en cours, 10 autres entités économiques privées le seront également. Il s’agit d’entreprises dont les avoirs ont été confisqués dans le cadre de toutes les affaires de corruption.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (OPEP+) ont décidé d’augmenté jeudi leur production à 648 000 barils par jour (bpj) en juillet et août, au lieu de 432 000 bpj mensuellement, comme convenu précédemment.
Les unités spécialisées dans la mouture du blé tendre et dur seront tenues, dès la saison prochaine, de redistribuer 60% des quantités issues des opérations de transformation aux éleveurs de bétail.
Le Pasa - Pôle Soummam élargira, à compter d’aujourd’hui, la contribution des conseillers formés dans ce cadre à cinq autres wilayas, en plus de Bouira, Béjaïa et Tizi Ouzou. Il s’agit de Médéa, Sétif, Bordj Bou Arréridj, Boumerdès et Jijel. Ces huit wilayas à elles seules assurent 60% de la production nationale d’huile d’olive. Mais il n’y pas de voie à l’exportation, selon Olivier Rives, coordinateur du programme. L’essentiel de la production est dédié à la consommation, mais reste de faible qualité.
Le PDG de Golden Drink Algérie, Amra Salim, connu pour ses Tazedj, Aqua fine et Fruix, affirme que l‘instabilité juridique sur le plan local et l’arrêt des importations sont un «grave problème qui risquent d’emporter avec eux toute la filière.»
Les cours du blé et du maïs ont nettement reflué ces derniers jours, sous l’effet conjugué d’une météo plus propice aux cultures et de l’espoir suscité par l’hypothèse de corridors maritimes pour sortir des céréales d’Ukraine.
Les prix du pétrole poursuivaient hier leur tendance haussière, suite à la décision des dirigeants de l'Union européenne de mettre en œuvre une interdiction partielle et progressive du pétrole russe.
L’Algérie continue à cumuler du retard en matière de transparence et de contrôle budgétaires. Idem pour ce qui est de la participation du public à l’élaboration des différents budgets. Ce retard maintient le pays en bas du classement mondial, avec des scores très faibles pour ces trois indicateurs, notamment par rapport à ceux des pays de la région.
Savoir-faire local et développement, une combinaison gagnante qui nécessite l’adhésion de tous les acteurs pour fonctionner. Déceler les atouts d’une région et les valoriser pour en faire une source de revenus pérenne est au cœur de la problématique du développement local.
Le Président-directeur général (PDG) de l’EPE Alfapipe, Mahmoud Aït Youcef, a été démis, hier, de ses fonctions.
Les autorisations d’importation de matériel agricole rénové seront libérées dès ce deuxième semestre de l’année. Cette décision intervient après le lancement, le 22 mai dernier, du régime d’importation des chaînes de production rénovées et du régime d’exemption de droits de douane et de la taxe sur la valeur ajoutée.
De l’avis des représentants d’entreprises rencontrés, les signes d’une reprise ne sont pas encore là, même si l’espoir de lendemains meilleurs est toujours de mise. Pour certains, l’alimentaire a été le moins touché durant la crise sanitaire puisque certaines entreprises ont affirmé avoir maintenu leurs ventes.
La 19e édition du Salon professionnel de la production agroalimentaire, Djazagro, s’est ouverte hier à Alger, avec la participation d’exposants venus de 25 pays.
Depuis fin 2021, le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations enchaîne les décisions portant sur le contrôle des opérations d’importation.
Saci Belgat est ingénieur agronome, docteur pédologue, retraité de l’enseignement supérieur. Il est auteur de nombreux ouvrages, notamment Ecologie du littoral algérien (Editions universitaires européennes 2014), Gestion des habitats agropastoraux (Editions universitaires européennes 2015) et Une agriculture saharienne sans les oasiens ? (Ouvrage collectif, Arak éditions, 2021).
Alors que l’Algérie est plus que jamais sollicitée pour jouer un rôle clé dans la géopolitique de l’énergie à venir, suite aux bouleversements nés de la guerre russe en Ukraine, le ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, a indiqué samedi à Alger que «l’établissement de relations de partenariat avec des entreprises mondiales dans le domaine des hydrocarbures constituait le principal axe de la politique énergétique nationale», non sans rappeler au passage que «la nouvelle loi sur les hydrocarbures prévoyait plusieurs mesures visant à encourager l’investissement dans les activités d’exploration et de production en Algérie».
Sous le titre «Les pays importateurs de produits de base du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord subissent les hausses de prix», le Fonds monétaire international (FMI) met en garde sur les risques d’une inflation incontrôlée.