La Côte d’Ivoire a gagné son pari. La CAN-2023, décalée à 2024, est un franc succès sur tous les plans. Le pays du président Alassane Ouattara avait promis que la CAN-2023 sera la meilleure de l’histoire de la compétition reine de la Confédération africaine de football (CAF).
A travers le communiqué annonçant l’installation de la commission ad hoc chargée de faire une évaluation des dossiers de candidature pour le poste de sélectionneur national, la Fédération a planté le dernier clou qui clôt définitivement le dossier Djamel Belmadi.
La Fédération algérienne de football ( FAF ) a adressé une notification à Djamel Belmadi, via un courrier, à l’adresse de l’intéressé indiquée sur le contrat signé en 2018.
Les partisans de la thèse du complot contre l’Equipe nationale et le sélectionneur Djamel Belmadi n’en démordent pas, ne se découragent pas et ne désespèrent pas de maintenir le football algérien dans le coma artificiel, en attendant le maintien ou le retour du messie.
La rencontre qui a réuni, jeudi à l’Office du complexe olympique du 5 Juillet, Mohamed Laagab, ministre de la Communication, des directeurs d’organes de presse et des journalistes a été l’occasion pour le premier responsable du secteur de s’adresser directement aux journalistes de la presse sportive, tous supports confondus.
Dans le projet de la Task- Force initié par le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, il devrait y avoir un module ou un volet consacré au chapitre des transferts des joueurs et entraîneurs en Algérie. C’est un segment qui échappe presque totalement au contrôle.
Des voix, de plus en plus nombreuses, s’élèvent en Afrique et en Asie pour demander la non prise en considération des résultats des matchs amicaux dans le décompte des points pour le Ranking FIFA qui précéde le tirage au sort des tournois continentaux.
La Fédération algérienne de football (FAF) et Djamel Belmadi semblent décidés, chaque partie de son côté, à ne pas faire l’économie d’un bras de fer. Le contrat qui les lie sera au centre de la bataille juridique qu’arbitrera la FIFA.
La relation de travail fédération-Djamel Belmadi est rompue depuis quelques heures. Exactement depuis la publication du communiqué de l’instance dans la soirée de mardi.
Noureddine Aït Chegou, figure emblématique du RC Kouba, s’est éteint hier à l’âge de 80 ans. Avec sa disparition, c’est un pan de l’histoire de la ville de Kouba et de son club qui est parti.
Djamel Belmadi, le désormais ex-sélectionneur de l’équipe d’Algérie, s’est envolé hier à destination de Doha, son lieu de résidence. Il a fait ses cartons, pris ses affaires et quitté définitivement son pied-à-terre à Alger, le Centre technique national ( CTN ) à Sidi Moussa.
A priori , le divorce FAF-Belmadi ne sera pas facile. Jusqu’à hier, les deux parties n’étaient pas parvenues à un accord financier qui les protège.
La direction de la JS Kabylie a procédé à un remaniement à la tête de la barre technique. Le Portugais Almeida a été remplacé par Azzedine Aït Djoudi récemment arrivé au club comme directeur sportif et installé depuis quelques heures comme entraîneur en chef des Canaris.
L’histoire FAF-Belmadi entamée avec succès en 2018 avec le second sacre continental obtenu en 2019 sous la direction de l’ancien international qui a réussi un joli coup de maître pour un essai en terre égyptienne s’est malheureusement achevée en eau de boudin à cause du troisième échec consécutif consommé en 24 mois. Difficile de survivre à trois traumatismes d’affilée.
Le feuilleton fédération et le sélectionneur national Djamel Belmadi semble bien parti pour durer et s’achever, probablement, devant les tribunaux. Les négociations sur la fin de la relation de travail entre la fédération et le sélectionneur traînent en longueur.
La Fédération algérienne de football (FAF) rompra dans les prochaines heures le silence sur toutes les questions liées à la fin de mission du sélectionneur national Djamel Belmadi et du contrat qui lie les deux parties.
L’élimination des Verts au premier tour de la CAN Côte d’Ivoire 2023, jouée en 2024, a scellé le sort du sélectionneur national Djamel Belmadi. Ce dernier et le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, ont abordé la question de l’avenir du premier à la tête de l’Equipe nationale.
L’après-Belmadi est en marche. Juste après l’humiliante défaite (0-1) contre la Mauritanie, la réflexion sur l’avenir de Djamel Belmadi à la tête des Verts a été entamée. Les responsables de la fédération, à leur tête le président Walid Sadi, se sont projetés sur l’avenir immédiat des Verts dans la suite des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
Plusieurs sélectionneurs n’ont pas survécu au premier tour de la CAN-2023. Le plus illustre est l’Algérien Djamel Belmadi qui a remporté la CAN-2019 en Egypte et qui, à deux reprises consécutives, a échoué à qualifier les Verts aux 16es de finale. Le coach des Verts reste donc sur deux cuisants échecs en CAN.
Oui, et maintenant ? C’est la lancinante question qui revient sur les lèvres des supporters algériens depuis le mardi noir (23 janvier) qui fera date dans l’histoire de l’Equipe nationale. L’humiliante défaite (0-1) et élimination au premier tour de la CAN-2023 en Côte d’Ivoire, contre la Mauritanie, ne sera pas oubliée de sitôt par les supporters.