L’Algérie se souviendra longtemps de la CAN 1988 au Maroc. Pour deux choses. La première, la (mauvaise) qualité de la préparation et les difficultés rencontrées par le coach russe Rogov qui a pris ses fonctions en automne 1986 et qui n’est pas arrivé à trouver l’équipe-type, deux ans plus tard, au Maroc.
La 12e journée de la Ligue 1, entamée mercredi par le match USM Alger-JS Saoura (1-1), poursuivie jeudi par MC Oran-CS Constantine (1-4) et vendredi par Paradou AC- NC Magra (0-0), s’est prolongée hier, samedi par 4 rendez-vous (USMK-USS, USB-MCEB, JSK- ASO et ESS-ESBA) qui signe le retour de l’équipe d’El Bayadh, après 3 semaines de repos, suite au terrible accident de circulation qui a coûté la vie à deux membres du club, le gardien Bouziani et l’entraîneur des gardiens Meftah).
Pendant un mois, à partir d’aujourd’hui, le pouls du continent va battre au rythme de la CAN-2024 qu’organise la Côte d’Ivoire, pour la seconde fois après celle de 1984 qui avait refroupé 8 sélections. 40 ans après, ce sont pas moins de 24 équipes nationales qui se disputeront le trophée.
Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, se trouve à Abidjan depuis hier (vendredi), pour assister, ce soir, au match d’ouverture de la CAN-2024 qui mettra aux prises la Côte d’Ivoire avec la Guinée-Bissau (Groupe A).
Le Mouloudia d’Oran file à une vitesse grand V vers la Ligue 2. Le cauchemar vécu la saison dernière ne semble pas avoir servi à grand-chose.
Les Verts se trouvent à Bouaké depuis hier. Au lendemain du second match test livré et gagné ( 4-0 ) et de la fin du stage de 10 jours à Lomé, la délégation s’est envolée pour la Côte d’Ivoire où elle participera à la 34e édition de CAN que le pays de Didier Drogba organise du 13 janvuer au 11 février 2024.
Des dirigeants du football africain ne veulent pas s’émanciper de la domination quasi-absolue des clubs, ligues et fédérations européennes qui, dès qu’arrive la Coupe d’Afrique des nations (CAN), compétition reine de la Confédération africaine de football (CAF), mettent la pression sur des joueurs et fédérations africaines pour qu’ils gardent leurs joueurs-employés africains lorsque la CAN arrive.
Il y a quelques jours, la Confédération africaine de football (CAF) a annoncé la majoration des primes de participation et de succès (classement) aux sélections qui participeront à la CAN-2024 en Côte d’Ivoire. L’annonce a surpris plus d’un. En effet, l’instance faitière du football continental avait indiqué, après le départ de l’ancien président Ahmad Ahmad, que les comptes n’étaient pas florissants, qu’ils frôlaient le déficit.
Les Verts disputeront aujourd’hui (16h), à Lomé, leur ultime match de préparation, contre le Burundi, avant le premier match à la CAN-2024 face à l’Angola, le 15 janvier à 20 heures à Bouaké. Il y a 40 ans, les Verts, qui étaient versés dans groupe B de la CAN-1984 organisée par la Côte d’Ivoire, avaient ouvert leur parcours par une eclatante victoire (3-0) contre le Malawi.
Franz Beckenbauer s'est éteint dans la nuit de dimanche à lundi en Autriche, où il réside depuis longtemps. Il avait 78 ans. Il était malade et son état de santé s'est détérioré au cours des derniers mois, comme l'a révélé son frère sur les colonnes de la presse allemande. Il est né en 1946.
Abdelhamid Sadmi garde un souvenir inoubliable de la CAN 1984 en Côte d’Ivoire. Il avait tout juste 21 ans lorsque le sélectionneur Mahieddine Khalef l’a retenu dans la liste des joueurs pour disputer la CAN 1984 en Côte d’Ivoire.
1968-2024, 56 ans séparent les deux dates. 1968, c’est l’année où l’Equipe nationale a pris part à sa toute première participation à la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations ( CAN ), la 6e de rang. Une belle occasion à la veille du début de la 34e édition, qu’accueille la Côte d’Ivore (13 janvier- 11 février 2024), pour remonter le temps et s’intéresser à ce que sont devenus les joueurs algériens qui ont participé à la CAN-1968 en Ethiopie. C’est parti.
Ainsi donc le premier match de préparation de l’Equipe nationale avant la CAN-2024 ne sera pas retransmis sur le petit écran «sur décision du sélectionneur national Djamel Belmadit», dixit des proches de la sélection présents à Lomé (lieu du stage). Les journalistes sur place ne seraient pas autorisés à assister au match. C’est fort de café qui n’existe nulle part, sauf peut-être en Corée du Nord.
Le tribunal de Nice (France) s’est prononcé, hier, sur l’affaire Youcef Atal qui a été mise en délibéré, après la comparution de l’international algérien en décembre dernier pour «incitation à la haine pour raison de la religion».
Dans 10 jours débute la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations qu’organise la Côte d’Ivoire. Pendant 28 jours, les regards de l’Afrique seront braqués sur les villes et stades ivoiriens qui accueilleront la grande fête du football africain. Grâce aux télévisions qui retransmettront les rencontres de la CAN Côte d’Ivoire 2024 les Africains ainsi que les amateurs de football à travers le monde suivront le tournoi sur le petit écran.
Dans quelques heures, mercredi 3 janvier 2024, Youcef Atal connaîtra la décision que rendra la justice française, dans le cadre de l’affaire du partage sur les réseaux sociaux, par le joueur de Nice, d’une vidéo d’un prédicateur dénonçant les crimes commis à Ghaza par l’armée israélienne. Rapidement, Youcef Atal a retiré la vidéo et présenté ses excuses.
Le dernier derby de la longue histoire des deux clubs algérois n’a pas répondu aux attentes des supporters. Présenté comme le sommet de la journée, le sommet a accouché d’une souris. L’enjeu a pris le pas sur tout.
Faut-il autoriser ou interdire la présence d’enfants au stade ? La question fait débat. A priori, elle n’est pas tranchée.
Le sélectionneur national, Djamel Belmadi, a dévoilé vendredi soir la liste des 26 joueurs retenus pour la CAN-2023, décalée à 2024 qui aura lieu en Côte d’Ivoire du 13 janvier prochain au 11 février 2024.
Une semaine, jour pour jour, après le dramatique accident survenu sur la route de Sougueur et qui a coûté la vie à deux membres de la délégation du Mouloudia d’El Bayadh ( MCEB ), le gardien de but Bouziani, et l’entraîneur-adjoint Meftah, le pensionnaire de la Ligue 1 panse ses blessures.