En date du 5 mai 2024, Abdelkrim Bira fut installé comme le premier responsable technique du club de l’Entente de Sétif. Dès son installation, il a assumé pleinement le port de trois casquettes.
Dès lors que la date de la grande finale de Coupe d’Algérie édition 2024 a été officiellement rendue publique par la FAF, soit le 5 juillet prochain, fête de l’indépendance et de la jeunesse, les préparatifs, à tous les niveaux, pour ce grand rendez-vous sont déjà entamés. Pour les clubs, une finale de Coupe d’Algérie ne se joue pas tous les ans. C’est une opportunité que chaque club voudrait saisir et surtout réussir.
Ce qu’on trouve chez certains clubs sportifs au bas de la pyramide en matière de fidélité et engagement à toute épreuve envers les valeurs et autre vertus particulièrement aux anciens joueurs et dirigeants reste rare chez les clubs de l’élite.
Il faut le dire tout de suite. De l’avis de la majorité des observateurs sportifs, les deux confrontations de la dernière journée du championnat version 2023/2024 ayant opposé le CSC à l’ESS (tous deux concernés par une participation continentale) et celle du MCEl Bayadh à l’ESBen Aknoun (tous deux concernés par la relégation) étaient celles les plus accomplies sur le plan de la sincérité de l’engagement et jouaient pour eux-mêmes et, du coup, ne souffraient d’aucune suspicion.
De par le monde footballistique, les sportifs sages affirment et reconnaissent que «sauver leur club d’une relégation annoncée est considérée comme une accession». La réception de fin de saison organisée par l’USM Sétif s’inscrit dans cette optique.
Une excellente nouvelle pour la grande famille sportive sétifienne et celle de l’Entente en particulier.
Les joueurs sétifiens étaient suffisamment motivés pour empocher le gain du match et se réhabiliter devant les Académiciens du Paradou lesquels ne jouaient pratiquement pour rien. Pourtant, c’était ces jeunes du Paradou qui avaient ouvert le score suite à une erreur de jugement de la défense sétifienne.
L’un des fleurons de l’industrie nationale des Hauts Plateaux, la SCAEK (filiale du groupe GICA), au demeurant en pleine expansion de production à l’exportation judicieusement programmée et savamment bien étudiée, a fêté, le 5 juin, la Journée mondiale de l’environnement sur son site de production sise à Ain El Kébira, d’une manière remarquablement réfléchie.
En prévision du match Ouganda-Algérie qui aura lieu aujourd’hui au Mandela National Stadium de Namboole (Kampala), la FIFA a désigné un quatuor béninois composé de Adissa Abdul Raphiou Ligali (arbitre directeur), Gbèmassiandan Narcisse Kouton (1er assistant), Lucien Todégnon Hontonnou (2e assistant) et Dédjinnanchi Tanislas comme 4e arbitre.
Le match ayant mis face-à-face l’Entente de Sétif à l’ES Ben Aknoun à Alger sur la pelouse du 20-Août 55 s’est mal terminé pour les visiteurs. Les gars de Ben Aknoun ne veulent pas abdiquer, ni abandonner l’espoir de lutter jusqu’à la dernière minute pour se maintenir en élite.
Rappel des faits ayant précédé la désignation de l’arbitre éthiopien Bamlak Tessema à l’effet de diriger la troisième journée du groupe D des qualificatifs à la Coupe du monde 2026 devant opposer l’Algérie à la Guinée.
La paisible ville de Ferdjioua (anciennement appelée Fedj-M’zala) n’est pas seulement une région où les céréales, l’arboriculture et les cultures maraîchères réalisent des performances avec des productions appréciables et où foisonne une élite d’intellectuels dans tous les domaines.
*«C’est toujours important de valoriser les bonnes personnes car il n’y en a pas beaucoup» (William Sinclair).
Le jeune et prometteur technicien Réda Bendris (47 ans) vient de signer une deuxième accession de rang de la division 2 Amateur vers le palier de l’élite professionnelle en dirigeant deux clubs différents. Qui dit mieux ! En vérité, ce jeune entraîneur, depuis sa tendre jeunesse, du temps où il était joueur, a de tout temps préféré plutôt parler sur les terrains qu’ailleurs. Il n’aime pas trop parler.
L’habitude est une seconde nature, ou quand on veut chasser le naturel, il revient au galop. C’est la triste réalité du quotidien du club cher aux Sétifiens et ce, depuis l’entame de la présente saison, précisément lors de la phase retour.
Comment cette action noble et honorable n’a-t-elle pas été médiatisée et suffisamment relayée pour en tirer le maximum de profit afin d’encourager à enterrer la hache de guerre, même à distance, entre supporters de deux grands clubs les plus populaires du pays ?
Même si de coutume, l’intérêt des membres de l’AG, des invités et de toute la famille du football reste porté principalement sur la teneur, et plus particulièrement sur les conclusions des travaux des AG (ordinaires, extraordinaires et même électives), il n’en demeure pas moins qu’il y a un aspect fondamental, voire crucial pouvant garantir la réussite, ou à défaut, l’échec de cette assemblée que ceux énumérés plus haut doivent savoir.
La logique veut que ce sont les arbitres titrés particulièrement ceux portant fièrement le badge FIFA qui doivent officier les matchs décisifs de chaque fin de saison. Règle de défense du titre oblige. Car c’est l’élite (appelée également la crème) de l’arbitrage qui doit prendre à son compte la direction des matchs jugés chauds et décisifs de la compétition, que ce soit en championnat, en matchs à élimination directe de coupe ou même de barrage.
Le derby algérois entre le Mouloudia d’Alger et l’USM Alger, pour le compte de la 26e journée fut, à l’instar des années précédentes, merveilleusement coloré sur les gradins mais peu captivant sur le terrain.
Décidément, l’Entente n’a pas fini d’inquiéter ses fidèles supporters. Pourtant, les déclarations du driver sétifien, le technicien tunisien Ammar Souayah avant le déplacement à Oran, étaient rassurantes. La lourde défaite ou plutôt la chute libre subie de son équipe devant les Hamraoua demeure, pour la famille sétifienne, profondément inquiétante.